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L’INTRUS

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Je me permettrais en tant que simple citoyen d’apporter mon jugement parmi  tant d’autres, ceux des enseignants ou de non enseignants qui ont cette  opportunité de commenter la façon dont est géré notre système éducatif et d’analyser la crise qu’il traverse, à laquelle ils ne suggèrent malheureusement pas  de solutions, sauf un internaute , ancien enseignant et apparemment un intellectuel, d’après ses articles, qui vient de  proposer d’une façon humoristique et audacieuse à travers sa plainte rédigée dans  la langue du CORAN , adressée au S.G du P.I sur le site OUJDACITY, ce mercredi 10 octobre 2012,  la solution la plus  radicale, en balayant du revers de la main tout ce qui a été réalisé par notre nouveau ministre de l’E.N : celle de se faire « ministrer » (ne consultez pas votre LAROUSSE car ce mot n’y existe pas), pour rectifier  le tir et mener à bien cette noble mission. Au fait pourquoi pas ?! Dans la vie il faut oser.

Je voudrais faire peut être de même, non pas pour me proposer à ce poste,  mais pour me limiter moi aussi modestement à constater, en  partageant surtout l’avis de tous ceux qui  braquent le projecteur sur le ministre actuel de l’E.N, en essayant   d’apporter un plus aux critiques déjà faites par des internautes à ce  sujet, en ayant la prudence et la certitude de ne pas me tromper.

– Il a failli être ministre  au temps de HASSAN II(on  remercie Dieu du fait qu’il ne l’a pas été) avant de devenir diplomate comme vous le savez déjà : en INDE où il a dû être influencé par un enchevêtrement de dialectes dont le principale est l’OURDOU pour finir par avoir une langue de bois, et par un croisement de centaines de religions pour perdre ses valeurs de marocain musulman, puis en IRAN et enfin au BRESIL pour avoir l’esprit tronqué par le bruit de la fameuse SAMBA qui l’a  peut-être trop distrait !. Quels apports y a-t-il eu après ces  représentations dans ces deux grands pays ?

 -pour montrer qu’il est ministrable et  être capable un jour de se faire  « ministrer »,  il a attendu jusqu’au règne de MOHAMED VI,  pour qui l’une des principales préoccupations est l’éducation, pour forcer le hasard afin d’être proposé à la tête du ministère de l’E.N ou se faire octroyer cette noble mission et répondre à son appel de la façon la plus aberrante qui puisse exister.

-pour ne pas rater sa part du gâteau comme tous ses  homologues , il s’est donc permis de tracer avec soin un parcours selon des circonstances et opportunités qui lui ont été offertes ou que le destin lui a réservé.

C’est un bon et grand orateur qui aime confondre l’ humour ( lamzah) quand il ne faut pas  au bon sens ( l’maaqol), mais toujours est-il qu’il se sent bien et trop dépassé par les évènements, (que dieu soit à son aide : traduction intégrale).

 Je ne fais que traduire partiellement son caractère.

Il serait vain de constater un homme d’état de ce calibre camoufler ses faiblesses et ses incapacités de mauvais  ministre pour professer  des professeurs afin de leur montrer une supériorité, un complexe accompagné d’un retour de l’âge.

Il adopte cette technique de camouflage, celle de feindre ses interlocuteurs (les  mass medias) : ceux qu’il considère comme des adversaires ;

 de ne pas vouloir dialoguer sincèrement et efficacement avec les représentants d’organisations sociales (les représentants de syndicats), ceux qu’il considère comme de simples pions ;

de sous-estimer un bon partenaire (les représentants  des ONG) considéré comme une simple équipe d’ouvriers, les appelant  à entretenir les locaux ou faire les figurants durant les scènes officielles ;

de s’acharner sur un autre  partenaire en oubliant qu’il a pris comme rôle de  prendre en charge une partie de cette noble mission ( le secteur privé) : considéré comme un rival ;

 et enfin d’intimider et surtout de manquer de respect  à ses collaborateurs (directeurs des académies, délégués provinciaux et directeurs des établissements) : considérés comme des marionnettes.

Il a peut-être oublié que ces derniers sont des responsables instruits, issus du peuple, comme lui d’ailleurs, qui  appartiennent  à la famille de l’enseignement,  qui ont persévéré, qui ont été bel et bien sélectionnés pour  accomplir leur mission et  à qui il doit en principe déléguer  le pouvoir pour le représenter  dans les régions et provinces  dans le cadre d’une parfaite collaboration et symbiose et à qui il doit du respect  . Consciente des lacunes et failles que représente notre système éducatif,  cette catégorie est de bonne foi et  il se trouve qu’elle est soucieuse de vouloir aboutir à un choix stratégique pour sauver l’enseignement public, je ne citerai pas de noms, ils sont connus par leur sérieux et probité.

Les maladresses du dit ministre ont été remarquées et signalées à plusieurs reprises durant les conseils d’administration périodiques régionaux qu’il a présidés après avoir ouvert son « portefeuille »  ou durant des entretiens qu’il accordait à la presse ou encore au cours de cette fameuse émission du mercredi sur 2M : moubacharatan maakoum à laquelle il a été invité pour tomber dans des contradictions ou ignorer ses engagements . Ne lui en voulons pas,  c’est un politicien et ex-diplomate, et non un technicien ou technocrate. On aurait cru à « un monsieur tout le monde » faisant la HALQA quand à un moment donné il s’est fait interpelé par un nombre d’enseignants et quelques représentants de la  société civile devant le siège de son parti où il s’est fait admiré par de forts rires ( je crains qu’on le riait, que c’est flatteur !) par ceux qu’on appelle en darija : les « clous du pétrin » en présentant son numéro pour se faire avoir en voulant jouer au populaire.  Ce qui lui a couté malheureusement de tomber dans un sal pétrin et dans l’oubli, en manquant de respect à ceux qui doivent en principe le représenter, c’est-à-dire à ceux à qui il doit déléguer le pouvoir, par des diffamations et des injures, non seulement à l’égard de ces derniers et à l’égard de leurs subordonnées, mais aussi et surtout  à l’égard de leurs familles, ou encore quand il a porté préjudice  à cette élève de la cinquième du primaire, âgée de douze ans et peut être non pubère encore devant ses camarades et son instit en lui adressant cette imbécilité et dont les parents sont en plein droit de saisir la mjistrature, en l’ offensant gratuitement et consciemment et sans scrupule et…et…et…. Veut-il introduire la notion de liberté sexuelle de cette façon et à ce niveau ? D’où on assiste ici à la disparition de la  notion de respect et de valeurs. N’a-t-il pas honte devant les siens d’abord et ensuite devant les familles marrakchi à son âge ? Il a perdu sa ligne de conduite pour perdre malheureusement le contrôle et finir par déraper. Serait-il tombé effectivement  dans l’oubli ?

Pour  donner un sens à l’oubli par rapport à cet évènement extraordinaire  , inattendu et surprenant, diffusé sur une vidéo, je dirais non seulement que c’ est une défaillance de la mémoire causée par son usure, mais la source de la régression morale de la personne, de son détachement de son environnement culturel et de ses valeurs, de la dégradation de son histoire et dans certains cas extrêmes il peut aller jusqu’à la méconnaissance de soi-même.

Par ailleurs Il a entamé de nouveaux chantiers, en oubliant d’aller droit au cœur de l’éducation et de ses  moyens pour d’abord la sauver ensuite la faire réussir. mais quels chantiers ( !!!)

 A commencer par des bilans dont celui du suivi et de l’évaluation de ce qui reste du programme d’urgence en rejetant une partie  et en n’admettant pas une autre.

 Ayant eu des préjugés  sur les chefs d’établissement à qui revient la décision de prendre des mesures pour faire régner la discipline, réajuster des situations ou pour pallier  à tout comportement abusif éventuel de la part du corps enseignant ou personnel administratif, il créa ce téléphone vert  pour apprendre aux gens de réclamer leur droit en oubliant qu’il leur donne l’occasion pour procéder aux règlements de comptes .

( avant de continuer, permettez-moi de  rendre hommage à Feu AALEM : pour faire régner la discipline et donner de l’estime aux enseignants pour donner un sens à l’éducation,  cet ancien directeur au collège LALLA AICHA du quartier l’aviation à Rabat des années 70 avait renvoyé un enseignant le remarquant fumer  chemin faisant au milieu des élèves , à la rentrée, devant l’établissement; il lui dit après un  premier salut en ces termes : « reviens d’où tu viens, va te faire éduquer avant d’éduquer les enfants des gens » ( traduction intégrale). C’était une personne qui défendait les valeurs de l’éducation et un homme à respecter).

Afin de faire éviter le surmenage aux petits enfants ( ?!) et d’alléger le fardeau à leurs enseignants ( ?!) notre ministre a réduit la semaine d’un après-midi dans le cycle du primaire.  Voici encore un manque à gagner à l’éducation mais une plus- value à la dérive. Est –ce là une augmentation indirecte de salaires accordée aux enseignants et une opportunité d’aller exercer en noir ?

 Pour finir, le ministre de l’E.N   ne  s’est pas caché pour mettre le doigt  clairement, directement et sans scrupule aucun au lendemain de la rentrée scolaire sur ce qu’il  a considéré comme un mal, en semant la frayeurs parmi les patrons des établissements privés, leurs enseignants , les élèves et étudiants et parents d’élèves :  en tant qu’économiste il a voulu peut être adopter ce fameux et ancien procédé en économie, celui de résoudre une crise par une autre ?! D’accentuer encore d’avantage cette crise ?!  Voudrait-il rappeler à ses coéquipiers  de s’aligner et reprendre pas à pas le parcours ?!  il a voulu sans doute se montrer plus grand en regardant malheureusement plus petit par le fait de vouloir tout faire. Qui sait ?

 Personnellement je suis convaincu qu’il ne pourra répondre à nos besoins, ni à ceux de nos enfants capables eux aussi à leur tour d’apporter leur jugement sur la façon dont notre système éducatif est géré, soit au cours de  courtes discussions à bâton rompus que nous avons l’occasion d’entretenir avec eux ou au cours de débats menés  dans leurs cadres restreints.

Pour conclure, Il faut dire que personnellement en tant que citoyen, à plus fortes raisons je ne suis nullement enchanté d’être gouverné par un ministre de ce profil, qui ne cesse d’être négativement présent presque tous les jours à la une  de certains de nos journaux électroniques, défini et jugé à travers une politique loin d’être éducative.

  Va-t-on comprendre un jour que seul un bon système éducatif sera la mèche illuminante d’un pays pour un vrai décollage de son économie, donc pour son essor ?  va-t-on trouver des « Hommes » pour assumer cette responsabilité ?

 Au nom de ceux que vous avez insultés, injuriés et manqué de respect et au nom de tous ceux qui ont été en conséquence choqués, je vous demanderais Monsieur le  mini… de L’E.N , et poliment, de partir, s’il vous plait…,  laissez votre place à un vrai MINISTRE, un jeune « analyste », à la hauteur de sa stature et de ses compétences pour  qu’il puisse remettre ce train sur ses vrais rails. Votre départ vous permettra de marquer le point par la notion de civisme et d’inculquer un nouvel esprit de culture et du respect de la « démocratie » à ceux qui nous gouvernent, acte par lequel vous serez l’initiateur et au final vous confesser.

 DEGAGEZ ! pour le salut de notre système éducatif et l’avenir de nos enfants.

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5 Comments

  1. MEKKI KACEMI
    11/10/2012 at 01:55

    L’attitude jusqu’ici peu soucieuse du chef du GVT envers les agissements carrément irrationnels de son ministre à l’éducation( ya 7asrah) me parait, personnellement, encore plus choquante que ces agissements. J’y sens de la trahison pour le pays , et un genre de mercantilisme dans la philosophie qui gouverne la gestion de la chose publique
    Grand chapeau, Mr Bouaassaba, et surtout ne tardez pas à revenir, SVP. Le pays et vos concitoyens ont grand besoin de plumes comme la votre, ces jours-ci et dorénavant

  2. Professeur
    11/10/2012 at 16:44

    Je me suis toujours demandé pourquoi ce ministre n’a pas un seul cheveux blanc sur sa tête. Qu’a t-il dans cette tête au juste pour qu’aucun cheveux blanc ne pousser dessus?

  3. MESK ALLIL
    11/10/2012 at 23:01

    BIEN DIT MONSIEUR MOHAMMED ET JE ME RANGE A VOS COTES POUR DIRE A CE MINI_MOME DU BALAIS DU BALAIS DU BALAIS

  4. méziane ahmida
    12/10/2012 at 13:19

    – un 1er bravo au responsable du site qui a su choisir cette photo du ministre riant à pleines dents ( j’allais dire « ricanant ») et illustrant parfaitement les traits de caractère et de comportement dénoncés dans les nombreux articles parus dernièrement en l’honneur de cet intrus ( pour reprendre ce qualificatif non moins bien choisi par Mr bouassaba dans son superbe texte) et appuyés avec brio dans son analyse. C’est donc une photo « parlante » qui me fait penser à Napoléon qui disait qu' »un schéma vaut mieux que mille discours »; quoique dans le cas de ce personnage, le discours n’est pas de trop.
    – un 2ème bravo pour le texte de Mr Bouassaba que j’assimile à un véritable réquisitoire qu’il conclut par un verdict sans appel:le départ. Le réquisitoire est d’autant plus crédible qu’il est dénudé de toute critique stérile et de toute polémique; d’autant également que Mr Bouassaba ( il le dit dans son texte) est loin du système et donc sa démarche est, ni intéressée, ni partisane, ni syndicale et ni électorale. Encore bravo donc!
    Ceci étant, je ferais quelques remarques :
    1. Le départ de ce ministre, aussi salutaire soit-il, ne constitue pas, à l’évidence, la véritable solution. N’a-on pas vu déferler sur ce fauteuil d’innombrables ministres de tous bords politiques sans que la crise ne soit résorbée? ce n’est donc pas en mettant Paul à la place de Pierre qu’on viendra à bout de ce monstre!
    2. Je pense , objectivement,que les critiques formulées à l’encontre de notre système éducatif devraient être mesurées et nuancées.
    En effet, en dépit de ses maux, notre système éducatif a servi le pays en lui fournissant des cadres marocains compétents qui ont réussi à prendre la relève des étrangers ( français et espagnols) depuis l’indépendance.Certes, des cadres nationaux ont été formés à l’étranger mais ils représentent une infime partie par rapport au total.Certes , le pays tourne encore avec des cadres issus des anciens systèmes mais leur nombre diminue progressivement ( retraites, décès …) et les générations issues du système actuel n’ont pas démérité pour autant. On reproche une dégradation du niveau de formation qu’on ne peut pas occulter, c’est vrai. mais cette baisse de niveau ne met pas en cause la valeur professionnelle et le savoir-faire de ces cadres ( globalement) et encore moins la compétence de nos enseignants dont le rendement demeure tributaire des conditions de l’exercice de leurs fonctions: environnement, matériel didactique, motivation matérielle, embûches …etc…Certes enfin, le système n’a pas pu s’empêcher de former des cancres qui ont su s’échapper à travers les mailles et « réussir », mais cela n’est pas à mettre sur le dos du SEUL système éducatif mais plutôt sur celui d’un environnement socio-culturel, politique et économique ( malsain, tronqué, rongé par la corruption, la misère …etc….) dont l’analyse dépasse un simple commentaire d’un article.
    3. Les avancées signalées de temps à autres à travers ce site et d’autres moyens de communications concernant des initiatives et des mesures positives prises localement ou régionalement dans des établissements induisent plusieurs questions qui convergent toutes vers une seule : Si la crise est structurelle comme on se plait à le scander, comment expliquer les prouesses réussies par certains responsables au niveau local et/ou régional? comment expliquer le fait que les Administrations, les Etablissement Publics,les boîtes privées, les collectivités, les organisations et autres structures soient mûs et dirigés par les produits de notre système? Je n’occulte évidemment pas les défaillance du fonctionnement de ces structures que j’impute à d’autres facteurs.
    Le débat est ouvert.

  5. meziane ahmida
    13/10/2012 at 19:36

    un premier commentaire ( du 12 vers 10h)n’ayant pas été publié, j’en émets un deuxième en tentant de reprendre l’essentiel de ce que j’avais écrit:
    – un 1er bravo pour le responsable du site pour l’excellent choix de la photo qui illustre parfaitement les comportements et attitudes relatés par les articles publiés au sujet de ce ministre et complétés superbement par Mr Bouassaba : un ministre riant ( ricanant) à pleines dents au cours d’une séance officielle ( voir fond de la photo) donne une idée précise quant au sérieux qu’il affiche à ses hautes fonctions. On me rétorquera que le rire n’est pas interdit. soit, mais pas n’importe oû,pas n’importe quand et pas n’importe qui.notre ministre devrait savoir que le képi qu’il porte lui impose certaines règles de bien séance. Je ne lui en dirai pas plus que ce qu’il lui a été dit dans ces articles, n’ayant pas reçu, du reste, la même éducation que lui.
    – un 2ème bravo pour le texte de Mister Bouassaba qui a dressé un véritable réquisitoire qu’il conclut par un verdict sans appel : le départ!!. en outre, l’auteur ne verse pas dans la polémique ou la critique stérile. Son écrit est dénudé de toute connotation partisane, électoraliste ou syndicaliste; à l’inverse de certains écrits qu’on nous lance gratuitement et qui sentent l’intérêt et l’opportunisme. Donc bravo.
    Ceci étant, j’émettrai bien deux ou trois remarques:
    1. le départ d’un responsable, aussi salutaire soit-il, ne résout pas la crise.
    Un ministre n’est qu’un élément du système.Certes, il dispose de prérogatives mais elles demeurent à effet limité si elles ne s’inscrivent pas dans une stratégie globale, celle d’un gouvernement dont la volonté politique est VERITABLEMENT l’instauration d’un système éducatif efficient, loin des slogans.
    2.Notre système éducatif, en dépit de toutes ses tares et ses failles, a formé des cadres qui ont su assurer la relève au lendemain de l’indépendance. Ils ont exercé avec brio aussi bien dans le secteur privé que public. Certes, un bon nombre est issu des anciennes formations mais les générations actuelles ne manquent pas, elles aussi et globalement, d’un savoir-faire plus que satisfaisant. Certes, certains cadres ont été formés à l’étranger mais la base a été acquise sur les bancs de notre école marocaine.Aussi doit-on nuancer et mesurer les critiques qu’on formule à l’encontre de notre système éducatif.
    3. Le corps de nos enseignants ( toutes fonctions confondues)mérite tous les égards car il professe dans des conditions souvent difficiles. Les cadres dont je parle ci-dessus sont le produit de ce corps. Bien évidemment, on ne peut occulter certaines exceptions.
    4. L’esprit d’initiative et certaines prouesses signalés de temps en temps sur ce site ou sur d’autres supports de communication au niveau de certains établissements scolaires et/ou certaines délégations et qui sont le fait de responsables talentueux et dynamiques m’amène à me poser des questions sur les véritables contours de cette fameuse crise de notre système éducatif

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