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Polisario : la grande question posée aux démocraties qui luttent contre le terrorisme et la criminalité transnationale.

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Polisario : la grande question posée aux démocraties qui luttent contre le terrorisme et la criminalité transnationale.
Comment les peuples, les gouvernements, les élus et les ONG’s de nombre de pays qui condamnent et luttent contre le terrorisme et la criminalité sous toutes ses formes puissent-ils, aujourd’hui, tolérer que  le polisario  ait une activité légale sur leur territoire ?
N’y a-t-il pas une contradiction ?
Après la revendication faite par AQMI au sujet des derniers enlèvements d’européens, notamment des français, dans les camps de Tindouf, en territoire algérien, et dans la région frontalière avec le Mali et le Niger, avec une implication  directe du polisario et indirecte des galonnés algériens dans cette tragédie, la question se pose avec acuité.
La France, l’Espagne, la Belgique, les Pays Bas, les monarchies d’Europe du Nord, l’Australie, la Nouvelle Zélande, l’Italie, les Etats-Unis d’Amérique la Grande Bretagne sont à mon humble avis aussi responsables de ce qui se passe dans cette région du monde.
En effet, ces pays n’abritent-ils pas des représentations du polisario sur leur sol ? N’autorisent-ils pas leurs membres à avoir des activités délictueuses sur leur territoire en connaissance de cause ?
Comment peut-on sincèrement vouloir combattre le terrorisme et en même temps abriter leurs succursales et héberger leurs membres ?
Si ces pays ont, un tant soit peu de cohérence dans la conduite de leur politique étrangère et de la lutte contre le terrorisme, ils devraient commencer par interdire toute activité du polisario sur le sol et procéder à l’expulsion ou l’arrestation de leur représentant pour appartenance à une organisation terroriste et ce, conformément aux lois internationales en vigueur.
Faudrait-il attendre encore d’autres tragédies pour que des mesures coercitives soient prises à l’encontre du polisario ?  Il me semble que non, car les populations éprises de paix, de sécurité et de démocratie ne comprendraient pas. Aujourd’hui, il y a urgence.
Farid Mnebhi.

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