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Black Friday pour les polisariens et leur vieille marraine algérienne depuis El Guerguerate au Sahara marocain

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Farid Mnebhi.

En raison du blocage illégale du tronçon routier reliant le Sud marocain à la Mauritanie, via la zone tampon d’El Guerguerate, par une centaine de terropolisariens lourdement armés, les vaillantes Forces Armées Royales marocaines ont procédé, dans un premier temps et dans la nuit du 12 au 13 novembre 2020, à la mise en place d’un cordon de sécurité dans ce secteur afin de garantir au maximum le flux des biens et personnes à travers cet axe.

Cette opération militaire marocaine, et il faut bien le préciser, non offensive ni belliqueuse, c’est faite dans les règles de l’art d’engagement claires tout en évitant tout contact avec des personnes civiles et de ne recourir à l’usage des armes qu’à cas de légitime défense, conformément au respect de ses attributions et en vertu de ses devoirs et en parfaite conformité avec la légalité internationale.

Face à ces actes, le Royaume du Maroc a accordé tout le temps nécessaire aux bons offices du Secrétaire Général des Nations-Unies, du Conseil de Sécurité et de la MINURSO, afin d’amener le polisario à cesser ses actions déstabilisatrices et de quitter la zone tampon de Guerguerate, mais ils sont restés vains.

Aussi, le Maroc a décidé d’assurer ses responsabilités et de mettre un terme définitif à cette situation de blocage générée par ces polisariens et de restaurer la libre circulation civile et commerciale.

Raison pour laquelle le Maroc a donc décidé d’agir, dans le respect de ses attributions, en vertu de ses devoirs et en parfaite conformité avec la légalité internationale. Les terropolisariens en assument seuls l’entière responsabilité et les pleines conséquences.

Ainsi, le 13 novembre 2020, un vendredi, et suite à l’intervention des valeureuses Forces Armées Royales, les polisariens, accompagnés de camions militaires algériens, ont pris la poudre d’escampette comme des rats en incendiant derrière eux les tentes qu’ils avaient illégalement installées et ce, sous les yeux de la MINURSO présente au moment des faits.

Dans leur fuite, les terropolisariens ont, dans leur lâcheté, attaqué la ligne de défense marocaine au niveau du Sous-secteur Mahbes obligeant les Forces Armées Royales à riposter avec des moyens anti-char, détruisant tous les chars algériens que le polisario a engagé et à neutraliser, selon la terminologie militaire, les polisariens.

Il serai bon, une fois pour toute, de savoir que le polisario n’a jamais été la voix des Sahraouis marocains mais plutôt l’expression criminelle d’un gang de généraux algériens qui puisent d’énormes profits en faisant le malheur des séquestrés marocains dans les camps de la honte de Tindouf.

Un pourrissement de la question du Sahara marocain ne pourrait profiter qu’à deux espèces d’individus à savoir, les extrémistes islamistes radicaux et les trafiquants en tout genre.

Pour l’heure, le Maroc se garde de toute réaction impulsive. Fort de l’unanimité populaire autour de sa cause sacrée et de l’adhésion internationale autour de ses choix démocratiques pour octroyer à la région du Sahara marocain un statut d’autonomie, il prend pour témoin toute la communauté internationale face à cette escalade sans précédent, mais ne se laissera pas intimider par les bravacheries algériennes.

Il semblerait que les militaires algériens aient fait l’impasse totale au cours de leur cursus sur les batailles de la guerre des sables en 1963 et celles du Sahara marocain, comme Amgala. Veulent t’ils une bis repetitaou tri repetita !

Elle sera rapide et cinglante car quand c’est l’Etat-Major Général des Forces Armées Royales qui diffuse un communiqué, c’est que l’heure est grave, la grande muette n’est pas du genre à sortir de sa réserve pour des futilités.

Les responsables algériens ne doivent surtout pas oublier que ce n’est qu’un amuse-gueule que les Forces Armées Royales leur ont servi. Au cas où ils en veulent plus, ils n’ont qu’à poursuivre leur pitrerie et ils seront servis gracieusementau Palais de la Mouradia d’Alger et non pas à Oran comme le souhaitait le Général Driss Ben Omar en 1963.

Au fait où se cache la mauviette de Brahim Ghali qui vient de fuir tel un malfrat dans le désert algérien suite à l’intervention des Forces Armées Royales marocaines à El Guerguerate ? Telle est aujourd’hui la véritable question !

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