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Le polisario et son mentor algérien se font crucifier à Yokohama

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Le Ministre nippon des Affaires Etrangères, Monsieur Taro Kono, a réitéré, à Yokohama le 27 août 2019, et devant les dirigeants africains, que son pays ne reconnaissait pas la pseudo RASD.

Cette position officielle du Japon a été réaffirmée au début de la réunion ministérielle en prélude à la Conférence Internationale de Tokyo sur le Développement de l’Afrique (TICAD-7), qui se déroule jusqu’au 30 août 2019 à Yokohama.

Le lendemain, soit le 28 août 2019, la cérémonie d’ouverture a eu lieu dans la salle de Conférence du Pacifico Yokohama Center, sous la Présidence de du Premier Ministre japonais, Monsieur Shinzo Abe, et en présence notamment d’Abdel Fattah el-Sissi, Président de la République Arabe d’Egypte (Président de l’Union Africaine), d’António Manuel de Oliveira Guterres, Secrétaire-Général des Nations Unies, Moussa Faki Mahamat, Président de la Commission de l’Union Africaine, Achim Steiner, Administrateur du Programme des Nations Unies pour le Développement, et Philippe Le Houérou, Directeur Général de la Société Financière Internationale.

Les travaux de cette 7ème TICAD ont débuté, le 28 août 2019 à Yokohama, au Japon, avec la participation d’une importante délégation marocaine conduite par le Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération Internationale, Nasser Bourita, qui représente le Maroc à cette Conférence.

Cette Conférence connait également la participation de nombreux opérateurs économiques marocains, notamment la CGEM, l’AMDIE, MASEN et Attijariwafa Bank, ainsi que d’autres institutions nationales et de représentants de la société civile.

Le thème central de cette nouvelle Conférence, est faire avancer le développement de l’Afrique grâce au capital humain, à la technologie et à l’innovation mais aussi de discuter des questions de Sécurité qui deviennent très importantes pour l’Afrique, notamment la région Sahélo-Saharienne.

S’agissant de la présence des terro-polisariens à cette Conférence, il faut dire que la majorité des pays africains ont accepté de tolérer sa présence tout en l’ignorant magistralement. D’ailleurs, il s’entend avec sarcasme à Yokohama que les polisariens sont venus dans les bagages de l’UA tel un meuble défraîchit et promis à la poubelle de l’histoire.

Dernière humiliation en date, le Japon a exclu les polisariens de toutes les activités officielles qu’il a organisées, mais ils sont restés. Humiliation suprême, le Japon les a déclarés indésirables à la réception de thé offerte par l’Empereur.

Quelle indignité ! Ce qui explique le sens profond de la maxime de La Rochefoucauld « le ridicule déshonore plus que le déshonneur » : c’est lorsque la présence devient l’expression continue et permanente du déshonneur. Préparez votre sortie de l’Histoire qui ne retiendra pas un mot de ces algéro-polisariens.

S’il fallait une autre preuve que le polisario ne représente en rien la fière population du Sahara marocain, c’est bien celle-là la preuve ultime : comment représenter une population connue pour son sens de l’honneur et de la dignité, en faisant preuve d’autant d’infamie !

Essuyant des défaites successives, à tous les niveaux, à tous les égards, et surtout, partout, le polisario, pitoyable, se donne en un spectacle ordurier à Yokohama avec la complicité de la délégation algérienne.

S’il fallait le rappeler, le Gouvernement japonais, autant que les co-organisateurs de la TICAD, les Nations Unies, le Programme des Nations unies pour le développement, et la Banque Mondiale, se tenant du côté de la légalité, ne reconnaissent pas, cette pseudo entité et ne lui octroient aucune légitimité ni aucune légalité.

Si le ridicule tuait, le polisario serait, aujourd’hui, en état de décomposition avancée ! En fait, il l’est déjà !

Au final, le machiavélique tandem polisario-Algérie s’est fait vitrioler à Yokohama au vu de ses piètres prestations à ce Sommet et du résultat plus que nul obtenu.

Il est acquis que les terro-polisariens sont entrés par effraction à ce Sommet avec la complicité de leurs mentors algériens et ont justifié le proverbe arabe qui dit « si tu n’as pas honte, fais ce que tu veux ».

La pertinence de ce proverbe a été confirmée à maintes reprises par le comportement de la pseudo RASD et l’illustration parfaite a été les revers successifs et l’humiliation continue subis par les terro-polisariens à Yokohama (Japon), où il se sont posés en invités aussi lourds qu’indésirables à cette 7ème Conférence de la TICAD.

Au fait, Brahim Ghali, est toujours inculpé par José de la Mata, magistrat de l’Audience Nationale, la plus haute instance pénale d’Espagne pour génocide et crimes de guerre ainsi que d’autres délits.

Ce sinistre individu ainsi que d’autres acolytes terro-polisariens et trois officiers algériens doivent répondre devant la justice espagnole de crimes contre l’Humanité, des faits qui remontent à plus de 35 ans.

C’est pourquoi, les autorités japonaises auraient dû arrêter ce gangster-tueur, qu’est Brahim Ghali, dès son arrivée à Yokohama pour une remise en bonne et due forme à la justice espagnole.

Farid Mnebhi.

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