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Sahara marocain : nouveau revers du polisario et de son mentor au Conseil de Sécurité !

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En ce 21 avril 2021, les 15 membres du Conseil de Sécurité de l’ONU viennent de prendre une décision remarquable sur le dossier du Sahara marocain qui fera date dans l’histoire des Nations-Unies et est à inscrire en Lettres d’Or dans les Annales de cette institution.

Balayant d’un revers de main les bavardages polisariens et algériens, le Conseil de Sécurité onusien a préféré écouter attentivement l’exposé de Monsieur Colin Stewart, Chef de la MINURSO, portant sur les violations réitérées du cessez-le-feu par le polisario et la proclamation de « l’Etat de Guerre » au lendemain de la sécurisation par le Maroc, le 13 novembre 2020, du passage frontalier d’El Guerguerat.

Une violation gravissime des résolutions du Conseil de Sécurité et un affront à cet organe onusien, garant du cessez-le-feu, car elle constitue une menace à la paix et la stabilité régionale, accentuée déjà par les connivences entre le polisario et les groupes terroristes dans la région sahélo-saharienne.

Il est acquis que le Sahara marocain connaît un essor développemental sans précédent, qui en fait l’une des régions les plus avancées en termes d’indicateurs de développement humain, non seulement au Maroc, mais dans toute la région nord-africaine et au-delà.

Les populations du Sahara marocain vivent dans la quiétude et jouissent de la plénitude de leurs droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels. Elles contribuent, au même titre que les populations des autres régions du Royaume du Maroc, à l’ancrage démocratique et au développement socio-économique du Maroc ; ce qui n’est point le cas dans les camps de l’horreur sis à Tindouf où la situation est sécuritaire explosive. L’atroce vérité est tue quant à ce qui se passe dans ce no man’s land, dans le contexte de la pandémie mondiale de la COVID-19.

Quant à l’atavisme primaire des responsables algériens, eux-mêmes, incapables de gérer cette crise sanitaire comme il se doit, il ne fait aggraver la situation dans les camps où aucune réponse aux enjeux de la pandémie n’est possible.

Cette situation est exacerbée par le manque de moyens vitaux les plus élémentaires, sans compter l’absence d’hygiène, de raccordement à l’eau potable, de systèmes d’assainissement, etc.

En outre, les populations sahraouies marocaines séquestrées dans ces camps sis en territoire algérien subissent quotidiennement de graves violations par le polisario de leurs droits humains les plus élémentaires et qui se sont amplifiées depuis la renonciation par ce groupe terroriste au cesse-le-feu, notamment par l’enrôlement forcé des enfants des camps de la mort de Tindouf par les milices armées polisariennes, les privant de tous leurs droits, notamment l’éducation et à la vie de famille.

Cette situation inédite dans le monde est contraire au Droit International et viole les obligations internationales de l’Algérie prise dans un délit de désinformation flagrant !

Dans ce contexte hautement inflammable, l’Union Européenne, pourtant très regardante sur les Droits de l’Homme, surtout quand il s’agit de pays tiers, se complaît dans son rôle de spectateur. Son approche ascendante qu’elle applique à des pays avec qui elle fait commerce ne semble pas avoir d’effet sur l’Algérie, la carte du gaz étant plus déterminante en relations internationales que la condition humaine.

Et de s’interroger comment l’Union Européenne peut-elle rester de marbre face à cette situation déplorable ? Comment peut-elle ne pas réagir à ce précédent gravissime de dévolution de prérogatives à des pouvoirs mafieux déconsidérés ? Comment l’Europe démocratique laisserait-elle une poudrière prompte à s’enflammer à ses portes ? Seul un proche avenir fournira les réponses à ces questions !

Le Maroc défendra toujours, bec et ongles, son intégrité territoriale et affrontera toute menace à sa sécurité et à la quiétude de ses citoyens de Tanger à Lagouira.

A bon entendeur. Salut !

Farid Mnebhi.

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