Lorsqu’il s’agit de se lamenter sur le passé, en matière d’éducation, nombreux sont ceux qui vantent le méritede nos prédécesseurs qui sont cités à la moindre occasion et ce, pour servir de modèle aux porteurs du flambeau de nos jours, que ce soit au niveau du directeur ou de l’inspecteur- ou du moins ce qui en reste du titre-Et vous voilà face aux donneurs de leçons qui vous ouvrent " le bal" par des litanies qui n’ont pas de fin.Tendez l’oreille et écoutez ce dialogue entre ces deux personnages "mordus de nostalgie":Ah ! la belle époque! avec le directeur X Et à l’autre de lui répliquer avant de lancer un long soupir plein de regret et d’amertume:"ça c’était un directeur!" (Et idem pour les inspecteurs actuels) comme s’ils n’étaient là que pour la forme et ne valaient rien alors que leur mérite n’en est pas moins important que celui de leurs aînés.Dites – moi, pour l’amour du ciel, soufflez- moi la réponse, je n’arrive pas à résoudre cette inéquation! Car je me trouve dans un sac de noeuds: lorsqu’un (directeur ou inspecteur) ne ménage ucun effort pour améliorersa tâche, ne seait – ce qu’en effectuant le 1/10° ou peut – être moins de ce faisaient ceux qui l’ ont précédé, alors tout le monde se déchaîne et crie au scandale comme si le ciel leur tombait sur la tête: certains le traîtent de tyran d’autres appellent au sit-in (وقفة احتجاجية).Et voilà les héros qui font irruption de tous les côtés: qui vous disent: Ah si j’étais moi dans cet établissement!Et l’autre de dire à son tour:" Attendez un peu que j’arrive!" Et au 3° de faire entendre:Ah vous ne savez guère quel je suis!Bref, un monde de héros, parfait, irréprochable à leur " travail" si travail, il y a!Vous lecteurs, dites-moi pour l’amour de Dieu, ce monde " parfait, plein de mérite qui vient à la rescousse des fumistes,qui défend les auteurs du désordre pubic et qui trouvent un plaisir pervers à mettre " les bâtons dans les roues", ne pourraient-ils pas déployer ces efforts au niveau international pour décrocher la coupe du monde…( pas au football, bien sûr) sur …ce que vous savez!!! A ces gens je dédie la fable suivante qu’on m’a appris autrefois dans ce qu’on appelait " les leçons de morale:

Autrefois, un villageois se promenait en hiver et trouva un oisillon qui venait juste d’éclore. Le villageois le prit et le mit dans une bouse de vache encore chaude pour lui sauver la vie.A peine l’animal sentit-il le chaud qu’il se mit à gazouiller. Un chat qui était de de passage le fit sortir de la bouse et le mangea.De là, 3 moralités sont à tirer: primo losque quelqu’un vous met dans " la merde, ça ne veut pas dire qu’il a de mauvaises intentions. secondo, lorsque quelqu’un vous fait sortir de la merde, ça ne laisse pas dire qu’il a de bonne intention et tercioQUAND ON EST DANS LA MERDE IL FAUT SE LA FERMER