La vie, un compte à écrire, une vaste transmutation qui grandit jour après jour. Une vie qui est la mienne ou la tienne qui s’écrit dans un journal ou un bouquin. C’est le temps qui passe à chaque moment de notre plus grande existence, le bruit de l’horloge, une seconde, une minute, une heure et des heures qui passent comme un train qui ne s’arrête pas, comme ce rêve bientôt réaliser. Quelle beaux rêve, j’aime cette odeur de la réussite, d’une évolution, d’un sourire savoureux, c’est l’odeur d’une histoire joyeuse qui s’est terminé par »et le héros vivra heureux pour l’éternité  ».  » Mon dieu, mon dieu  » Mon cœur va s’exploser par une t’elle volupté, qu’on appelle ici bas : La grande joie. Mon esprit écrit pacifiquement ce mot plaisant. Ce mot sacré que les inepte ne l’accepte pas.  » Oh mon dieu, mon dieu  » que dois je faire pour vaincre toutes les formes du mal qui se glissent prés de notre oreiller et nous faire vivre notre plus grand cauchemar ?

Ai-je le pouvoir pour battre ce silence assourdissant qui te tue quand tu essaie de sourire, quand tu cherche à être heureux, quand tu te lève le matin et tu dis que ce jour va être le plus grand jour de ma vie ? Je veux bien supprimer cette penser qui ne veux pas sortir de la tête d’une personne qui a une force pour finir avec ses frère la grande cours, je ne veux pas qu’il quitte sa maison et fuir, prendre un train et partir tout simplement comme si rien n’était. Non ne part pas je t’en supplie, on fera notre plus grand effort pour trouver toutes les solutions, le soir je ne vais pas dormir, je passerais mon temps à chercher les raiponces de ces questions. Dans ma chambre, je mettrais les choses en ordre, rien ne sera mélanger. Je t’en supplie, ces mots se sont les dernières chances pour se lever de la terre. Levez vous donc, peuple, je vous en supplie. Avez-vous le cœur pour entendre ce discours ? Avez-vous le cœur ou un cœur de pierre ?