Réponse aux calomnies du Monde : Le Maroc n’est pas une ombre mais une lumière

Par : Saïd Ouedghiri Hassani

Introduction : Quand l’illusion se heurte à la vérité
Il n’est pas surprenant que certains cherchent à présenter le Maroc, à travers un instant de fatigue passagère, comme s’il était au bord de la fin.
Mais le Maroc n’est pas une scène éphémère : c’est une histoire pluriséculaire, portée par la légitimité de la dynastie alaouite et le pacte renouvelé de la bay‘a, guidée par un Roi présent dans la conscience collective même lorsqu’il se fait discret aux yeux.
Entre l’image et le récit
Le Monde s’est arrêté sur une photo du Roi lors de la prière de l’Aïd, y voyant un signe d’affaiblissement, mais a ignoré d’autres images où il apparaît en mer, saluant son peuple avec énergie.
Ce choix sélectif n’est pas du journalisme, mais une construction d’illusions.
La continuité du pouvoir
Depuis des siècles, la succession des souverains marocains se déroule avec fluidité, fondée sur la bay‘a.
Le prince héritier Moulay El Hassan se prépare, comme son père avant lui, pas à pas, méthodiquement, sans précipitation ni vide institutionnel.
L’économie et la renaissance
Pendant que certains doutent, le Maroc construit des stations de dessalement, développe l’industrie automobile et aéronautique, et se prépare à accueillir la Coupe du monde 2030.
Un pays qui bâtit l’avenir ne peut être qualifié de faible.
Le Roi et le peuple : un lien indissoluble
Le Roi n’est pas seulement un homme : il est le symbole d’une nation.
Le lien qui unit le peuple marocain à sa monarchie est un pacte spirituel et historique, qui se renforce dans les crises et se consolide dans l’épreuve.
Témoignages de l’histoire mondiale
Et qu’on le sache : la maladie n’a jamais signifié la fin d’un règne. L’histoire universelle l’atteste :
Georges Pompidou (France) : a continué à diriger l’État malgré une grave maladie, jusqu’à sa mort.
Winston Churchill (Royaume-Uni) : victime d’une attaque cérébrale en 1953 alors qu’il était Premier ministre, il a néanmoins continué à gouverner.
Woodrow Wilson (États-Unis) : frappé d’un AVC en 1919, il est resté président jusqu’à la fin de son mandat.
Franklin D. Roosevelt (États-Unis) : paralysé par la poliomyélite, il a dirigé son pays pendant la Seconde Guerre mondiale jusqu’à son décès.
Pourquoi donc, lorsqu’il s’agit du Maroc, veut-on transformer une fatigue humaine en prétexte pour annoncer un déclin, alors que pour d’autres chefs d’État, cela fut accepté comme « condition humaine » ?
Conclusion
À ceux qui bâtissent des châteaux d’illusions sur des images tronquées, nous disons :
Le Maroc n’est pas une ombre qui disparaît au crépuscule, mais une lumière qui se renouvelle à chaque aube.
Et le Roi n’est pas un corps dont on mesure la force ou la faiblesse, mais le symbole d’une nation enracinée dans l’Histoire et qui avance avec constance vers l’avenir.





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