Nos partis pointés du doigt
La première réforme qui doit avoir lieu est, avant tout, la repense du paysage politique national, nécessaire réforme des partis politiques sans laquelle le Maroc ne pourra pas progresser. Le changement profond du Maroc passe nécessairement par le rajeunissement des militants et la démocratisation interne des partis. Si le Maroc s’est lancé dans un processus démocratique depuis 1976, ce sont surtout les partis qui ont vidé nos institutions démocratiques de tout bon sens. De fait, nos institutions ont perdu la confiance des citoyens.
Des politiques doivent remettre la clé sous le paillasson comme le réclament les jeunes qui ne doivent pas se contenter de revendications mais constituer une véritable force de proposition et d’alternatives pour tirer notre pays vers le haut.
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