Oujda/ Gestion communale en situation de stand by
La réalité du conseil municipal d’Oujda est à l’antipode des discours politiques et programmes électoraux des partis composant cet organisme élu. De l’avis de plusieurs observateurs locaux, la gestion de la chose communale à Oujda laisse beaucoup à désirer et ne répond nullement aux aspirations de la population locale ni à ses attentes.
La session de juillet 2010 a été, encore une fois, reportée puisque le quorum n’a pas été atteint. Sur les 65 membres, seuls 16 conseillers ont signé le PV de présence. Pourtant, une cinquantaine d’élus se trouvait dans le hall de la commune urbaine ce jeudi.
Au fait, les élus du PAM qui s’étaient alliés au Parti de l’Istiqlal pour élire Omar Hjira président du conseil en juillet 2009, sont passés à l’opposition. Ainsi, s’est constituée une nouvelle configuration politique avec une majorité fragilisée et une opposition renforcée..
Selon des sources proches du conseil municipal d’Oujda, cette nouvelle opposition majoritaire est décidée à forcer le président à démissionner ou, le cas échéant, à inciter les autorités compétents à le relever de ses missions électives de président.. Mais, le plus grand perdant n’est autre que la ville d’Oujda et sa population, prise en otage..
Pour clarifier cette situation conflictuelle, nuisible aux intérêts de la ville, RADIO PLUS à interrogé le président Omar Hjira, Ahmed El Hamal et Mustapha Benabdelhak, t^tes de liste respectives du PJD et du MP. Pour les deux interlocuteurs de l’opposition, la responsabilité incombe au président qui ne concerte avec personne et prend des décisions individuelles manquant de bon sens. Et de préciser ; l’exclusion et l’ostracisme, érigés en règle de base, ont vidé la démocratie et la gouvernance locales de tout sens en sorte que les commissions du conseil sont devenues inopérationnelles. « Notre position est donc légitime’ concluent les deux conseillers.
Quant président Omar Hjira, il réfute toutes ces critiques tout en admettant que l’opposition a le droit et le devoir de jouer ce rôle important. Mais, précise-t-il, l’opposition recourt à des critiques non fondées, adopte des attitudes et des positions négativistes et verse dans une spéculation politicienne sans jamais adhérer à la réalisation des projets en cours d’exécution ni à la mise en œuvre des plans d’actions en pipe. Le souci majeur de l’opposition, souligne-t-il, est les élections législatives de 2012.
Quant à l’opinion publique oujdie, elle craint que ce bras de fer entre élus périclite le programme de mise à niveau urbaine de la ville d’Oujda





8 Comments
oui la ville d’oujda veut un homme jeunne fort bien eduque qui a le carism l’odace la volente et ble desire de changer la face d’une ville tant fragilise et tant banalise et tant exploite comme une vache empreinter sans son consentement il aaussi le devoir de changer la mentalite malforme d’une population issu globalment de l’exode rurale cette homme a mon humble avie n’est autre que ce courageux petit gentil homme laisson hjira omar travaille .
16 voix sur 65 voixa la session de juillet 2010 c est catastrophiqe monsieur le president.plus tard la ville s englente.ou est ta majorite….. que veullent elles…..change ton burreau communnal……mis les points sur les i…..plusieur sollutions…sauf…demmition comme derniere sollution.
monsieur hjira quelle est la reponse que tu as obtennu des trois chef des partie pam.mp.pi.je crois que la reponse est cllaire.c est pour cette affaire et pour ce cenario que benabdelhak tete de liste du mp a refuse d etre president de la commune d oujda.ou sont les hommes.
en se rappellant de la manière scandaleuse dont le président a été élu , cette désorde dans la gestion des affaires communales de notre cher ville était prévu .
Devinez qui se cache derrière cette mascarade… bien sûr le PAM parasite par excellence…
Oujda ressemble étrangement à une ville qui connait les les mêmes problèmes à cause ou grâce au PAM…la ville de Tanger…
Et l’on s’étonne que les OUJDIS fuient les élections. Arrêtez cette mascarade, on veut pas de cette démocratie qui ne sert nullement les Oujdis. Et HADDOUCH, BAC – 5, grand manager devant l’éternel, notoirement connu par sa nullité, que devient-il ????
QUELLE HONTE
LES OUJDI N’ONT RIEN A CRAIDRE POUR NOTRE VILLE,CAR MALGRE CE BRAS DE FER DONT PARLE L’ARTICLE ET LES NUISANCE DE L’OBOSITION LA VILLE CONNAIT UN GRAND CHANGEMENT ET LA REALISATION DE PROJET TRES INPORTANT(LA RESTRUCTURATION DES ROUTE DE LA VILLE).
SI HJIRA AVAIT LA TETE TRANQUILLE IL FERRA ENCORE PLUS CAR IL AIME SA VILLE NATALE? MAIS DOMMAGE QUE D’AUTRE PERSONNES NE CHERCHE QUE LEURS PROPRE INTERT.
entre nous omar hjira est un bon president mais un mauvais derigent seul avec chamlal ne peux rien faire; pour moi il a commu erreur de sa vie en courant pour la presidence il aurait pu la laisser pour hadouche pour son experience et son poids
SALUT,
pour trouver une solution a tous ces problemes ont doit penser a faire quelque chose utile,les elus locales au maroc ne doivent pas avoir tous ce povoir qu’on leurs a donné a fin de mener les proget d’une ville a la poubelle,il faut creer un ministre des collectivites locales au maroc qui doit etre responsable.