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Le budget et le devoir de l’etat face aux taxes sur les maladies

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au Rapport
Parlementaire qui confirme la cherté du médicament « 

Je vous adresse pour éclairer
décideurs et lecteurs sur une omission constatée dans les retombées concernant
le rapport parlementaire sur le prix des médicaments il s’agit des taxes
indirectes de Douane 17 % et de TVA 7 % sur la majorité des médicaments, la
totalité des réactifs et tout le matériel …Ces taxes imperceptibles
légalisées renchérissent les diagnostics, les soins et les thérapies dans tous
les secteurs de sante que ce soit la Sécu qui casque ou le non-mutualiste qui
paie tout.  Ceci revient en définitive à
payer pour les maladies et ces taxes exploitent les seuls malades. D’où leur
incongruité éthique et leur iniquité sur le plan de la logiqueet de la justice
fiscale. On n’a pas à faire payer les handicaps, les fièvres ni les douleurs,
qu’elles que soient leurs causes, fussent-elles légères ou gravissimes !

VOICI UN TEXTE
PLUS EXPLICIQUE ET MOINS CONDENSE DEDIE AUX DECIDEURS  

ASSOCIATION DES AMIS DES MYASTHENIQUES DU
MAROC 

LE BUDGET ET DEVOIR DE L’ ETAT FACE AUX
TAXES SUR LES MALADIES 

Parmi les réformes qu’attendent le Gouvernement
et les Conseillers de SM le Roi, il est une réforme dont la priorité est
vitale. C’est la suppression des impôts sur les maladies ! C’est-à-dire, de ces
quelques 24% de taxe de Douane et de TVA sur les médicaments, les réactifs et
les appareillages importés, qui sont nécessaires aux soins ! Or ce ne sont que
les malades qui paient ces taxes iniques et honnies, qui renchérissent et
brident leur accès aux soins

EXPOSE DU PROBLEME 

Il est malhonnête et amoral de payer des taxes sur
les maladies ! Dans son discours d’avant les élections parlementaires, SM se
flatte du travail des Partis et demande aux ONG de soutenir leur travail
civique. Coté taxes sur les médicaments et le matériel de diagnostic, qui
renchérissent les actes, nous continuons notre travail d’éclaireurs bénévoles,
sans relâche. 

Qu’attendent les électeurs des Parlementaires et
des Partis, en matière de santé et de défiscalisation des médicaments ? Ce
qu’attendent les électeurs des élus, des Cadres et des Conseillers Royaux du
think-tank, que nous interpellons vivement, c’est meilleurs accès aux soins !
Avec plus de considération et de respect à l’endroit des malades, pour qu’ils
ne soient pas exploités durant leurs maladies ! Ce n’est pas une affaire de
professionnels, mais de réglementations indélicates et de lois voraces ! 
Les taxes de Douane et de TVA décriées, cumulent
24 % au total, sur presque tous les médicaments et le matériel de soins, qui
sont destinés aux seuls malades ! Cette discrimination est d’abord arbitraire
et illogique et ces prélèvements sont illégitimes. Elles représentent une
ineptie, amorale, une fois qu’on en a eu conscience ! 

C’est une injustice anti-humanitaire, anti
citoyenne que de voir persister ces pénalités sur les malades, alors que le Roi
fait de l’INDH son chantier de règne. Qui plus est, il ne peut y a voir de
développement humain, sans la santé ! Aussi, aspirons-nous vivement à voir ces
taxes ignobles, abolies par SM, le Roi, que Dieu Le garde, afin que les pauvres
et les handicapés, les malades, puissent sortir de l’indifférence, de la misère
et de l’ingratitude, pour être placés sur le chemin du progrès et de la dignité. 

APPEL A CELUI QUI SAURA AGIR POUR SAUVER LES
MALADES 


LE CONSTAT SOCIAL 

A l’heure où nous lisons les retombées d’une
enquête parlementaire sur les prix des médicaments, à l’heure où on vote pour
le budget, il serait-il utile aux militants des Partis, à tous les Cadres
responsables du gouvernement et du royaume, aux Conseillers de SM le Roi, qui
analysent les événements, les idées et les actes, entre la morosité et les
changements, politiciens, électoraux et temporels, de se pencher aussi, sur
cette autre infortune, que sont les maladies ? Auriez-vous, enfin, un regard
loyal et sincère, altruiste ou intéressé envers les malades ? Les simples
maladies et leurs approches, réglementaires, législatives et économiques !
Médecins et pharmaciens ne suffisent plus, face à ces calamités ! Ils réclament
une réforme ! Le Maroc nous regarde et nous sommes tous concernés ! 

Est-il socialement productif de continuer à
délaisser ce secteur vital, odieusement taxé d’inutilité, au profit d’autres
valeurs plus dynamiques ? Est-il défendable de saborder ainsi sa base, la
population de son propre pays ? Là où la souffrance réduit même les plus aisés
d’entre les gens, au statut tragique d’assistés, rendant la dignité, donc la
citoyenneté, à sa plus basse expression. Les Partis, par voie de fait, se
transforment en collèges virtuels pendant que des arrivistes sabordent les
concepts de démocratie, en niant au peuple des quartiers leurs bons droits ! Du
coup la signification même de représentant, leur crédibilité d’élus se perd !
Dans cette défection des règles et des lois, des secours et de la
compréhension, les laissés pour compte, cherchent n’importe quel écueil,
n’importe récif pour sortir de la noyade ! Et ce, quelque que soit la main
consolante, sournoise, pernicieuse ou perverse, qui se tend alors vers eux,
pour les repêcher ! 

Les milieux, ruraux, pauvres ou besogneux,
dénigrés au profit d’expédients extatiques et de pétarades de salons, sont
ceux-là même qui requièrent le plus l’affection et justifient des Cadres leur
temps, leur énergie et leur abnégation, par tous les temps, quels que soient
les autres dossiers où la sécurité prime. Ce sacerdoce ne connait pas les
vacances ! Les actes de présence, les gestes de solidarité sont la base de la
vie en communauté, donc de toute politique. Est-ce abâtardir les cadres et
polluer leurs méninges que d’aspirer leurs rencontres salvatrices avec les
couches qui les ont générés ? 

La logique, la raison, les sentiments, la
nécessité, requièrent le courage de ce retour. Le Peuple a besoin de ses fils
pour reformer la famille ! Ces immersions dans les rues, les usines et les
quartiers, sont synonymes de rencontres entre condisciples et de proximité avec
ceux qui remplissent les urnes, voire avec ceux qui avec raison s’en détournent
et fuient les suffrages et les scrutins ! Et ces mots sont écrits avant la
dernière défection de ceux qui votent par leurs silences, mais qui expriment
une déception certaine, envers et à l’encontre de tous ! Combien y-a-t-il de
malades déprimés et dépités parmi-eux ? Faut-il négliger leurs voix et leur
sort ? 

APPEL DES FAMILLES, APPEL DU PEUPLE A LEURS BONS
REGISEURS  

Le service humanitaire, acte altruiste de
citoyenneté, est la meilleure audience pour les militants avec leurs électeurs
potentiels. Le Peuple, ces simples sujets qui travaillent pour vous instruire,
attendent qu’on étanche leur sueur. Ils attendent, non sans crainte d’être
déçus et non sans espoir de fierté, un juste retour des sentiments de ces
cadres, de ces cigognes, qu’elles refassent leur printemps ! Ils attendent que
les programmes des Partis intègrent leurs soucis et leurs justes espoirs. Ils
attendent que ces patriotes leur rendent justice et qu’ils lavent la honte des
exactions et des abus ! Que les fils et les filles se détachent des innommables
amalgames et se différencient de ceux qui les subornent et les trompent ! Que
les programmes, leurs volontés écrites, soient aussi réalistes, que vrais et
qu’on ne vole plus leurs droits, leurs aspirations et leurs rêves ! 
Ils veulent que leurs besoins, les plus simples,
soient réalisés. Que les élus ne soient plus que de virtuels pastiches, les uns
des autres, bons à placarder les murs de fausses promesses qui restent les
témoins balafrés de leurs mensonges ! 

Et les chantiers à couvrir sont légions, dans tous
les domaines, du travail à l’éducation et de la justice à la santé ! Le premier
travail est de leur rendre leur confiance en soi et de régénérer un sang par
trop corrompu ! Le premier travail est de retrouver cette fierté légitime, cette
richesse que nul adversaire n’avait pervertie. A commencer par chasser toutes
les formes de mépris et tous les stigmates de l’humiliation : celles exogènes
et celles dues au destin de tout être vivant ! Leur droit à la santé, le droit
des personnes malades à être soignées, le droit de ne pas subir d’entraves ni
d’être d’un système de soins, les otages muets ! Le droit de ne pas subir de
surenchères, ni d’embargo sur leur santé. 

LA SANTE EST UN DROIT, UN DEVOIR ENVERS LES
CITOYENS, 

Que dire de la santé, de l’accès aux soins, du
coût des actes et du prix des médicaments, et qui plus est, des taxes que
l’Etat prend sur les malades, leur souffrance et leur maladie ? Les maladies
représentent deux faces de la responsabilité des gestionnaires que l’on peut réexaminer
sous un nouvel angle, plus moderne et plus contemporain. Celui qu’il est
d’assurer les besoins communautaires en médications et celui des moyens et
règlements d’approche pour l’acquisition des médicaments et des soins. Sachant
qu’il ne saurait y avoir de conflit d’intérêt entre les obligations de l’état
dans ses deux facettes de régulateur et de commanditaire, ni de schizophrénie
entre l’offre des médicaments qu’il organise et leur accessibilité, dont il
décrète les coûts, la qualité et les obligations. Or, obligé d’assurer une
couverture, il ne doit pas lui être étranger d’en abaisser les coûts pour
répondre aux besoins élargis. Et nous connaissons l’impact de la maladie dans
la genèse de l’inconfort, du chômage, de la misère, du mécontentement social,
dans l’origine des grèves, dans les troubles et dans la révolte et les
séditions ! 
Il s’agit pour nous, à partir de l’AAMM, qui vous
remercie de votre engagement et de votre affable soutien, entre autres
associations dynamiques et ONG civiques, d’éclairer l’Etat sur un dol qu’il
entretient et de faire prendre conscience à la cascade des décideurs, d’un
concept nouveau, celui du DROIT DES MALADES. 

Nous sommes devant des punitions collectives,
perpétrées selon un système organisé et des modes légalisés. Exactions
aberrantes, devenues institutionnelles et inconscientes, revers d’un droit
naturel, mais ignoré, doublé d’un devoir oublié. Nous ne disons pas dénigré, de
par notre immense espoir en notre pays et en nos cadres nationalistes, car ce
droit et sa solution sont simples ! 

Ce droit légitime et naturel est celui d’être
traités, sans arnaques ni surenchères, comme il devient coutumier de le lire,
de le voir, de le souffrir et de le déplorer. Droit de refus nouveau et devoir
de délation nôtre, doublé d’une violente condamnation face à des prélèvements
coutumiers, impropres et inconséquents. Nous dénonçons avec vigueur citoyenne,
dans un esprit pédagogique inlassable, ces taxes abusives dans leur concept,
qui saignent les malades ! Une aberration, dès qu’il s’agit pour le fisc de
frapper les médicaments et de pénaliser les demandeurs de soins ! Dès lors, il
nous parait juste de ne pas laisser le malade crouler sous la chape des TAXES
DOUANIERES et autre antinomique TVA sur la maladie ! 

REFORMATER LES TAXES, EST UNE PRIORITE ABSOLUE DU
GOUVERNEMENT 

La loi qu’il s’agit d’exorciser, l’abcès torpide
qu’il s’agit d’inciser est donc cette ostensible et publique tare de l’Etat !
Une infamie, qui aberrante déjà, obère l’accès aux soins ! C’est-à-dire qu’il s’agit
pour vous maintenant de faire raisonner le législateur et repenser aux
réglementations devenues infâmes. Des us contreproductifs, car ils pèsent sur
l’accès aux médicaments et aux soins, des soins que l’Etat veut élargir
pourtant par l’AMO ! 

Un leitmotiv libératoire s’entend ! Reformater les
taxes de douane et de TVA ! Ces contraintes contraires que l’Etat nous impose,
sont des pénalités sur les fièvres et les douleurs. Des charges superflues qui
représentent entre 25 % (à 42 % du prix des laits de bébés) sur les médicaments
les plus indispensables, comme ceux de première nécessité ! Sauf exception !
Cette arnaque est vécue comme une entrave au simple droit de se soigner et
comme un carcan, un boulet, autant d’exactions punitives, qui datent de l’ère
qui précède celle des droits de l’Homme ! 

RENDRE SA DIGNITE AUX MALADES EST UNE NECESSITE
DEMOCRATIQUE   

Ces dissonances, artefacts fossiles, archaïques,
dignes des gestions reptiliennes, sont gravement antisociales. Elles plombent
l’accès aux soins. Vous m’excuserez de m’appesantir sur cette punition
collective qu’on administre à la Nation ! Elle est indigne du Maroc, contraire
aux valeurs préconisées par le ROI. Indigne du Ministre des finances sortant Si
Oualaâlou, au référentiel socialiste qui brigue la chefferie de l’USFP, et qui
donna en son temps, des cours de droit au Roi ! Indigne de son successeur, le
RNI-démocrate Salaheddine Mezouar dont nous interpellons le courage,
publiquement, avec espoir ! Indigne de cet Islam si prégnant dans les valeurs
du Maroc, indigne de notre ouverture moderne. Indigne de notre tolérance, qui
doit être une passion envers autrui ! Mais d’abord, envers ceux qui souffrent
dans leur chair, dans leur être, dans leur santé et dans leur personne. Quelle
que soit la cruauté de la maladie, fut-elle aigue, grave ou chronique !! 

UN EXEMPLE BRILLANTISSIME DU ROI CITOYEN 

En effet, l’école de solidarité et de défense des
tranches pauvres et des handicapés, exprimée avec ardeur, en temps réel et sur
le terrain, par notre Roi Sidi Mohamed, stimule notre énergie civique. Elle
nous libère et nous pousse à la franchise, plutôt qu’au laisser-faire ! Elle
éveille en nous, médecins, vos amis, admirateurs, militants et concitoyens, une
volonté de voir les gouvernants et les réglementations suivre, avec réalisme et
dans les actes, la juste passion de SM que Dieu Le garde. 

UN BESOIN DE REFORMES HUMANITAIRES 

Réformer les concepts, c’est donc, pour l’Etat de
réviser le cadre même de sa fiscalité sur les soins, à la lumière de clairvoyance
de SM. A commencer par les médicaments et leurs divers intrants. De l’usine au
labo et de la pharmacie au bloc ! A titre d’exemple, nous faisons une
proposition ! Les citoyens sauront accepter les mesures de remplacement, les
plus légères, sur le timbrage local, fiscal, sur les boissons prises en public,
dans les cafés, par solidarité et civisme, « à la santé des malades » ! Sans
gêner leurs aisances et leur susceptibilité de classe, les plus riches
accepteront les taxes sur les produits de confort et de luxe qui viendront
remplacer celles de la Douane et de la TVA, lesquelles ne font trinquer que les
malades, même ceux des strates les plus pauvres ! Il ne faut pas sortir de
Saint-Cyr pour supprimer les rubriques budgétaires par d’autres mieux adaptées
au Maroc nouveau ! C’est une mesure salvatrice et de solvabilité de cet
humanisme humanitaire qui est le nôtre et pour lequel nous admirons notre Roi
son initiateur ! C’est une question de force et de volonté contre les
archaïsmes. Une autre forme du Nouveau Pouvoir ! 

UN BESOIN D’EVOLUTION DEMOCRATIQUE 

Supprimons dès lors les taxes rédhibitoires qui
pénalisent l’accès aux soins. Car ces prébendes usuraires sur les souffrances,
génèrent de la haine et suscitent la sédition ! Ces pénalités révoltantes sur les
fièvres et les douleurs, injustes et inhumaines, surmultiplient les
mécontentements populaires ! Comme ces entraves augmentent notre lot
d’incapacités et de handicaps, par les retards, sinon par l’empêchement des
secours initiaux et dans les prises en charge ! La cherté mine le chemin des
soins et barre leur administration. 

En défiscalisant les soins, les médicaments et
leurs intrants, c’est le budget de la Santé publique, (en premier, celui des
hôpitaux, civils et militaires), qui sera décuplé. Ses médicaments, ses
instruments, ses réactifs ! 

Car l’investissement dans la Santé doit être vu,
au moins, comme celui du Tourisme, pour son développement et ses privilèges, et
soutenu comme l’une des priorités, aussi importantes que la fourniture du blé
toute l’année, le pain qu’on subventionne, et du lait qu’on importe pour le
mois de Ramadan ! 

Et tous les malades, du plus dramatique, au plus
complexe, du moins grave au plus léger, seront dispensés des frais injustes et
superflus ! La Santé s’offrira à un plus grand nombre ! Les Marocains qui n’ont
pas d’autres saints auxquels se vouer, seront plus soignés et mieux soignés.
Ils seront reconnaissants au Pouvoir Royal qui aura libéré leur santé des
contraintes ! Cette OPA, géniale, profitera à l’AMO et à l’INDH qu’elle
consolidera par des coûts de médicaments et de soins plus accessibles. Cette
réforme, sur nous-mêmes et nos réglementations, est à faire en bloc et d’un
seul tenant pour qu’elle soit productive et efficiente. 

POUR DES LOIS « SOCIALEMENT » ET MORALEMENT PLUS
JUSTES ! 

En supprimant les taxes décriées, messieurs les
Conseillers du Roi, messieurs les élus, vous rendez justice à l’Etat et vous
rendrez sa pureté aux lois en les ré-humanisant. Agissant ainsi et conseillant
de la sorte, vous rendrez les lois plus louables, plus amènes, plus
convenables, plus en harmonie avec la politique de solidarité imaginée par SM. 
Mesdames et messieurs les Ministres et les
Députés, vous les Cadres sains de la Nation, vous les leaders d’opinion et les
responsables des Partis, vous qui pouvez avoir l’audience et l’écoute du
Souverain, vous êtes des responsables, sensés transmettre les dols de la
population qui vous a élus, à SM. Nous percevons pour le Pouvoir, une gloire de
plus, une exaltation de l’admiration et des louanges supplémentaires, un
bénéfice en popularité opportun pour tous les acteurs de l’Etat. 

Ce sont des lois honnies et contreproductives pour
le prestige de l’Etat. Il est donc légitime de les abolir et de solliciter
cette grâce de SM le Roi, dont ont sait le pouvoir exécutif ultime et le rôle
ascendant dans le Gouvernement. D’autant qu’aucun ministère, pris à lui seul
n’est capable de décider et de légiférer ! Il est naturel dès lors d’espérer et
d’attendre du Roi, qu’Il les abroge et qu’Il fasse un acte de justice, en
graciant les malades, afin de les délivrer des taxes sur leurs maladies, et de
lever cette prédation partiale et embarrassante. 

APPEL A SM LE ROI QUI NOUS ECOUTE ! 

En plus de la reconnaissance de la part du Peuple,
l’effet produira un rejaillissement psychologique sur son imaginaire et un
starter sur l’enthousiasme rouillant de certains ! Un plus en matière de
solidarité, qui confortera par son effet humanitaire notre image de marque au
sein des Nations, les mieux développées ! 
Aussi, garder ces lois inconscientes, devient un
défi ingrat et malveillant aux principes inculqués par le Roi. Cette iniquité
équivaut à une arnaque amorale, perverse, traîtresse et cynique, quand on sait
qu’elle est portée par les seuls malades. 

UNE PREUVE D’AMOUR EMANANT DU ROI 

Cette réforme de la fiscalité des soins et des
médicaments sur toutes les maladies, sera une opération thérapeutique du
brouhaha généré par les hausses des prix dans les hospices publics et par les
autres indélicatesses, qui se font plus rudes à chaque rentrée ! Une chance
pour cette détaxe, qui, si elle est bien pulsée, sera capable de stimuler
l’amour pour la Nation. Patriotisme qui semble passé de mode, depuis la Marche
Verte ! Cette détaxe, mise en évidence et magnifiée, permettra de confondre et
de dépasser le défaitisme navrant de certains dénégateurs, quels que soient
leurs partis, et tel qu’il est exacerbé journellement, pour écœurer les
citoyens et déprimer le pays. Il est temps dès lors de stimuler l’adhésion de
tous, à partir du prisme hyper sensible de la santé, pour développer
l’engouement du Maroc, en entier, dans le cadre de l’INDH, telle qu’elle a été
magnifiquement mise en chantier par le Roi et les cadres de Son Gouvernement. 

DR IDRISSI MY AHMED, PRESIDENT DE L’AAMM 
Kénitra, le  11 NOVEMBRE  2009

ASSOCIATION DES AMIS DES MYASTHENIQUES DU MAROC 
112, ave Med DIOURI, Kénitra, MAROC

Assistance: 0661252005,

Tel 0537376330,

aamm25@gmail.com

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