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Education :grand pas pour automédication !

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Education :grand pas pour automédication !

Par Mohamed BEN YAICH

E .Islamiques

Faculté lettres

Université Mohammad 1

 

1) D’avance, l’éducation sanitaire s’impose toujours nécessaire .nos corps sont élus comme nos propres et meilleurs partenaires .notre santé c’est d’abord notre affaire etc.

Ce modeste article tend à proposer le bon usage, autonome, pour épargner les efforts et rétrécir les affaires, éviter les tracas et emboîter notre état sanitaire, cas suivant cas.

Notre situation sanitaire, axe du bonheur ; doit se caractériser par un équilibre infiniment infiltré, souple et simple à gérer.

La malnutrition persiste, chez nous, plus énorme que la sous-alimentation ! La mal position plus que la mauvaise conception. les contraintes plus imposés que les entendements et satisfactions etc.

Il y en a, Donc, une sérieuse défaite qui s’abriterait dans nos sites intellectuelles, éducatives principalement .celle-ci se présentent sous un thème de pauvreté humiliante, due à l’ignorance et incurie.

Le mal, prioritaire, dont nous en subissons c’est que nous avons horreurs du simplicité et du fait doux, on préfère toujours le chemin détourné, nous sommes amateurs du compliqué et labours louches. Tout cela dépend d’une complexe subconsciente, surnommée: complexe de complexité!

Celle-ci dépend de nos mauvaises attitudes transférées depuis nos pires habitudes.

Les coutumes, traditions, mœurs, tous ensembles jouent un grand rôle pour façonner notre style de vie et son modèle, surtout, en cas d’affronter les maladies surgissant à l’imprévu.

Mais le rôle principale et maladie chronique dont on souffre, c’est, cette ignorance entêtante et chronique ; ambiguë et confuse, qui subsistera éternellement un axe du mal entre nos cotes et  nos meilleurs désirs sanitaires.

Pour un simple citoyen, même instruit, peu importe son niveau, si un médecin, sincère et compétent, lui prescrit une salade simple, d’oignon hachée au tomate , pour arrêter une vertige ou hypotension artérielle surgissant, sera, à son avis, incompétent et non convaincant pour être moyenne de médication et bon guérison !

Certains patients, vont  refuser  à payer les frais de consultation redevable, sous prétexte de ne pas avoir une liste médicamenteuse prescrite sur l’ordonnance.

Cette attitude fait objet de constater deux défauts provenant du mal éducation:

-la première c’est que le patient subit d’une ignorance compliquée par rapport à l’éducation sanitaire; il ne rend jamais attention à la médecine préventive ou plutôt curative, tandis qu’il en a besoin pour toute sa vie.

-la deuxième, il se montre indifférent au conseil efficace de son médecin par influence de parenté, voisinage, mauvaise conception, ou modernisation hallucinée etc.les attitudes des médecins se varient également. 

Certains chercheraient  à satisfaire le malade par une ordonnance bourrée de médicaments légers, sans grande importance ou nécessitée dan la plupart des cas.

         Cela peut survenir  sous envie de conserver la confiance du patient, qui deviendrait, par allusion, en ce moment, comme un client, habitué (regular).

         Ou bien pour laisser le lien tendu entre eux afin de poursuivre la carrière et établir enfin les bons soins, selon les belles conditions médicales.

Par contre, les autres médecins resteraient fidèles à leurs Principes, même devant ce refus et intolérance du tel patient.

Ces attitudes, malheureusement, sont réelles, je les avais constaté au champ, même quelques amis médecins, aussi, me les racontaient.

Certains  médecins d’entre eux s’en allaient à critiquer la situation, en accusant ses collègues ou plutôt ses ex-étudiants de ne pas respecter les étapes de médication, soit sous prétexte indiquée ci-dessus soit par impulsion d’esprit de lucre.

Ce dernier pourrait surgir lorsque on propose une intervention chirurgicale dès la première ou deuxième consultation, qui est dans tout cas risquée, malgré les succès y réalisés.

Pour  y éviter il serait d’abord nécessaire de combiner entre l’éducation sanitaire chez le patient et la conscience professionnelle du médecin traitant.

Pour y réaliser, il faudrait se partager la responsabilité, par effet de solidarité fraternelle, en sens large et vaste domaine éducatif et scientifique.

Cela, se produira en généralisant les informations sanitaires, partout, entre la population.

Mais le meilleur stade où nous devrions y planter c’est l’université .car là-dedans qu’on apprendrait les bonnes méthodes et les meilleures façons d’en servir et partager entre tous niveaux.

Donc, l’enseignement doit rester toujours le meilleur partenaire de la médecine, soit en théorie, ou appliquée, soit éducative ou préventive .

2)  Avant d’en finir, voici un petit exemple méthodique, digne d’être programmé, même dans les facultés médecines.

Ceci est tronqué d’un œuvre presque inconnu chez nos instruits que nos illettrés. Son titre original était en anglais: (take care of yourselef ).by Donald M.Vickery and James.F.Fries,traduit en français:votre santé c’est d’abord votre affaire.

Nous allons choisir pour le moment une simple maladie, qui est la toux, présentée schématiquement comme suivant :

–  La toux entraîne-t-elle

 une expectoration           

  abondante plus ou moins épaisse ?     ———     oui «====== « (Voir le médecin aujourd’hui) 

               = Non=

– Est-on en présence de :

a)fièvre au dessus de 39° ?

b)- b) fièvre au-dessus de 38°         —————- —-  oui   « ======== »    (Voir le médecin)

 depuis plus de quatre jours

                =non=

_ S’agit-il d’un    toux isolée

 mais Persistante ?           ————————-    oui « ============ » (Prendre rendez-vous avec le médecin)

      

   =  non=

(C’est votre affaire)

 

 

En résumé:

– An apple a day keeps the doctor away

– He knows his job.

– Health is better than wealth

– GOD helps him who helps himself.

 

 

 

                                                                       

    

 

 

 

 

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