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La médecine populaire à la loupe scientifique

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Mohamed BEN YAICH

Université Mohamed 1
Oujda Maroc

Lequel d’entre nous n’aurait pas préparé une ou plusieurs fois,
quotidiennement presque,une théière ou un gros verre d’infusion
herbeuse,unique ou mélangé en divers plantes ?
La réponse, certainement, sera : oui, partout dans le monde,
justifiée par une simple raison, c’est que ,cela fait partit
d’une habitude cuisinière enracinée dans notre conscience depuis
des siècles écoulés.
La phytothérapie, précisément, constitue un héritage naturel,
presque cuisinier, pour traiter la majorité des maladies, surtout
bénignes, au plus vite possible, et sans aucun danger ou complication
probable.
L’infusion, par exemple, est une façon primitive, efficace quand
même, d’extraire l’essence des substances naturelles, soit
d’origine herbeuse ou minérale.
L’idée d’extraire ou d’infiltrer les produits existait depuis
l’antiquité, subsiste malgré tout, et continuera jusqu’à
l’infini tant qu’il y a eu  besoin à la cuisson pour la
nécessité humaine.
Infuser ou bouillir les matières pour être consommès, surtout les
plantes, est à la disposition de tout le monde, cet effet représente
une simple prescription médicale gratuite et tolérable.
De Quoi risquons-nous si on préfère faire une infusion à la
tisane ou romarin, menthe, pareil à la méthode d’une tasse de
café ou thé, tant que ces herbes là, leur groupe, appartiennent à
la domestique, par contre les autres désignées comme plantes
sauvages confuses ?
La nocivité de ses dernières reste souvent incontrôlée chez la
plupart des gens, même les scientifiques, dont certaines peuvent
provoquer la mort dès la première prise !
Les gens, dans la plupart des cas, éviteraient de s’en disposer à
cause de ses risques prévus, préfèreraient toujours par leurs
propres instincts d’appliquer l’habitué légué depuis des
milliers d’années.
Seulement certains patients, téméraires, vont, par curiosité,
traverser le seuil de ses avertissements pour essayer une telle ou
telle plante du groupe sauvage.
Cette procédure aventurière peut être due à leurs propres
illusions, ou bien, la fausse consultation de certains charlatans. Le
résultat sera donc le pire parie sur un coup de chance, abstrait,
rien d’autre !
En cas de bonne conséquence, le patient en collaboration avec le
charlatan vont déclarer, en allant même publier, avec fierté
encore, que la guérison obtenue dépendait de telle ou telle herbe,
désignée sauvage.
En dépit de ça, ils vont généraliser la recette, tout en incitant
les personnes qui souffrent des mêmes symptômes d’en prendre
elle-même, par la même façon et à la dose pareille !
Comme cela, les patients suivants vont se jeter dans les bras de
l’aveuglette absolue et absurdité médicinale, totalement
incontrôlée !
Les victimes en provenance de cette ignorance, sans préavis, se
multiplieront, sous forme d’une épidémie provoquée, mais sans
savoir précisément l’agent causal !
Pour s’en débarrasser on ferait appel aux analystes purement
scientifiques pour en dépister la véritable cause.
Çà, finira, bien sûr, par dépister l’origine de cette défaite
herbeuse, peut être due à l’insu ,ou bien l’insouciance de
l’appliquant .peu importe, l’essentiel c’est qu’il y a eu un
danger sérieux aux alentours de la plante sauvage.
La simple issue pour certains, soit disant scientifiques, c’est de
déconseiller la prise totalement et de rejeter la plante sans retour.

  Mais la loupe scientifique, méthodique, s’en refuse et exige de
traiter les choses de tous bords, sans boycotter bêtement les
avantages obtenus par certaines, soit fortuitement,ou due à une
expérience en répétition par succès optimal !
Comme vous le savez,il y a des symptômes dites et dues à des
variations physiologiques, par contres les pathologiques .les deux
sortes  s’appuient,d’abord, sur l’état des constants,tels que :
la pulsation,la tension artérielle,la respiration,la température
etc.
En cas de normale ceux-la varient et se change en nombre et
manière, sous l’influence d’un fait ou autre, qui pourrait être
physiologique ou même psychique, car ces cas dépendent du
phénomène psychosomatique.
Si, par exemple, l’un de ces constants dépassait le normale,
reconnu par expérience, on dirait alors que qu’il y a eu une
anomalie, dont on doit déceler la vraie cause.
De ce point là, la loupe scientifique va intervenir pour interroger
le patient, présumé ou suspect, en allant dévoiler même son état
intime afin d’y arrivée.
Après les étapes suivis en auscultation clinique on peut réaffirmer
que l’état du malade n’est simplement que physiologique
réactive, ou par contre pathologique nocive.
En revenant à la médecine populaire nous constaterons que la plupart
des applications vulgaires ne touchaient que la partie symptomatique,
dues à des réactions soit physiologiques ou psychiques
fréquemment.
La prise d’une substance, herbe médicinale, souvent, appartenant au
groupe domestique, pour but de calmer une céphalée, nausée, ou
abaisser une température, peut se refléter sur les deux côtés.
En revanche elle peut aboutir parallèlement à deux inconvénients
inévitables qui sont :
La première se caractérise par concéder au patient
vulgairo-populaire l’occasion de s’attacher à une fausse
connaissance concernant la prise visée, tout en commençant à
l’appliquer sans aucune précaution prophylactique. Cependant, dès
qu’il aura un symptôme pareil au précèdent il se précipiterait,
sans hésitation vers, vers l’herbe essayée auparavant. Cette
impulsion sera pour cause d’obtenir le même résultat précédent,
sans qu’il sache précisément que son état n’est qu’une sorte
de variation normale passagère. en outre, il agira sans qu’il
considère la dose et la partie ,efficace de l’herbe,nécessaire.
La deuxième est que cette prise, elle-même, peut mettre en voile le
symptôme, simple, paru, qui deviendrait après sa cachette
provoquée, et réapparition, un menace véritable qui porte un titre
pathologique géant, bien évolué. Il y a eu, donc, toujours un
risque  prévu aux alentours de ces procédures, qui ne sont pas
éclairées par une vision large, pareil à celle de la loupe.
Pourquoi pas microscopique ?
En bref, la médecine populaire persistera toujours à la maintenance,
et la fréquence encore, on ne peut jamais la nier où éliminer tant
que nous avons besoin d’une cuisine et cuisson. Seulement, il
faudrait généraliser la culture sanitaire afin de prendre
précaution en cas d’utilisation, sans témérité médicinale, et
sans abus incontrôlable !

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1 Comment

  1. le naif
    10/04/2013 at 21:12

    les citoyens a faible revenus ne doivent leurs santés qu’aux plantes car les medecins et specialistes ont ignorés les symptomes des maladies pour dirigés les patients vers les clichés noirs des echographies qui coutent 150 DHS plus la visite de 250 dhs se qui fait 400 DHS,ensuite on vous envoie chez un autre radiologue qui a des instruments sophistiqués;les analyses viendront plutart.

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