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Urgence avec et sans Programme d’Urgence Du Constat vers l’Innovation

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Urgence avec et sans Programme d’Urgence

Du Constat vers l’Innovation

Boubker zenati

Vite, Vite, Vite,…! C’est  en général l’attitude (déclaré et/ou non déclaré) qui commande  la réalisation des pratiques professionnelles .Quel modèle d’enseignement adopte- t’on pour notre système éducatif ? L’Enseignement à compétence minimale ou l’Enseignement ouvert ou tout simplement l’enseignement informateur!

Pourtant le Programme d’Urgence (PU) dans le domaine de l’éducation & de la formation insiste sur  le faite que l’enseignement doit être axé sur les compétences de base (lesquelles ont été bien défini dans les instructions officielles pour chaque matière scolaire), et  stipule que l’élève soit placé au cœur du système de l’éducation et de la formation , et précise de mettre toutes les dispositions nécessaires à son service dans le but d’atteindre les profils de sortie pour chaque élève en fin de chaque niveau scolaire. D’ailleurs tous les textes officiels s’alignent sur une même finalité : Tout doit être fait pour aider chaque élève à réussir effectivement sa scolarité.

Le système a enregistré des avancées réelles sur divers plans, mais cette perception diffère selon les acteurs, selon leurs statuts, leurs conditions effectives d’exercice de leurs métiers, leurs conceptions & convictions sur la rénovation de l’école marocaine, leurs mobilisations effectives, leurs états de volonté à développer leurs pratiques professionnelles en fonction des facilités /épreuves présentes, …

Il est clair que la lutte contre les inégalités scolaires , l’échec scolaire & l’abandon scolaire est l’essence qui alimente toutes les actions du PU , des projets rénovateurs & régulateurs s’installent au fur & à mesure ouvrant des voies du progrès vers une réelle rénovation de l’école publique marocaine comme il est écrit sur les textes officiels. Mais malgré ces rénovations, la réalité montre que des projets du PU s’installent avec des inégalités, soit dans le temps d’arrivée du nouveau, ou dans la manière d’installation : Inégalité entre classes, entre établissements scolaires, inégalité dans le matériel distribué, ou dans les formations dispensés aux enseignants, ou dans…, certes des projets  ne touchent pas en même temps toute la communauté éducative (enseignants, élèves,…), et ne la touchent pas de la même façon. Quelles sont les causes essentielles à de tels constats qu’évoquent les acteurs d’éducation? Relèvent-elles de la directe responsabilité de certains acteurs centraux ou régionaux ou locaux ? Ne contribuent-elles pas au bas niveau scolaire général que continuent à rappeler des Observateurs nationaux et internationaux? Ne participent-elles pas à retarder la durée préétablis pour rayer définitivement cette image ,et pouvoir justifier la fortification du système d’éducation et de formation suite à l’application du PU pour une réussite distinguée aux prochains examens internationaux dans le domaine de l’éducation? bien que les finalités du système d’éducation et de formation marocain ne se limite pas à cet importante défi qui constitue une comparaison internationale très utile pour une facette de l’avenir de l’éducation national ( à laquelle le Centre National de l’Évaluation et des Examens, et le Centre National d’Innovations Pédagogiques et d’Expérimentations lui ont accordé des enveloppes financières importantes à travers une série de mesures ); mais elles visent dans leur globalité à atteindre un état de stabilité générale qui facilite toute éventuelle initiative pour son progrès croissant.

Le ministère a rassuré les citoyens que d’ici la rentrée septembre 2013, chaque établissement scolaire public va bénéficier avec égalité entre ses pairs des mesures relatives aux changements dans le cadre du PU, car les analystes sont conscients que ces deux premières années scolaires ont été marquées par de véritables inégalités dans l’attribution du nouveau réservé aux établissements scolaires publics, à travers tout le territoire national (bien qu’il y a des différences entre chaque région). On conçoit que l’état de gel entre le haut et le bas doit être brisé, et que la communication confiante devrait s’amplifier d’avantage pour une bonne continuation vers l’instauration de l’école de la réussite.

& loin des avis des acteurs de terrain qui n’apprécient pas le cheminement des projets du PU ,loin des opinions des parents d’élèves qui éprouvent des inquiétudes quant à l’avenir de leurs fils ,et qui soufrent financièrement à cause de la nécessité d’administrer  des leçons de soutien externe à leurs fils (particulièrement les démunies),& prés des élèves, si l’on demande aux élèves qui étudient dans un établissement public s’ils perçoivent des changements radicales dans le domaine de l’éducation, surtout au niveau de leurs propres établissements scolaires publics, ils répondent négativement, malgré que des aménagements ont été exécutés ,des murs ont été repeint- mais pas avec une peinture de qualité (on observe que même certains établissements publics continuent à réparer une seconde fois ce qui a été déjà réparée, pourquoi on ne contrôle pas bien les habitats public pendant les réparations? Pourtant c’est le lieu où chaque acteur responsable passe plus du tiers du temps de sa vie! N’est-ce pas une responsabilité commune? Est-ce un argent gratuite qui se fourni?), des jardins s’ils se trouvent ont été soignés, des cadres de références ont été établis, du matériel didactique a été distribué, des programmes ont été lancés(Tayssir, Génie) ,de l’argent a été encaissé par les associations du soutien de l’école de réussite, du matériel informatique a été accordé aux encadrant des projets, des mesures pour la sécurité humaine et pour la sécurisation du temps scolaire ont été lancées, des paniers de guides  aidant à la réussite de tous les actes éducatifs ont été préparés, de multitudes de rencontres de mobilisations ont été produits, des séminaires de consultations qui ont été organisés, des partenariats ont été établis, des salles multimédia commencent à se généraliser (mais il est clair que suite aux organisations scolaires ,et au manque de fonctionnaires, les élèves n’utilisent que rarement ces salles ),des terrains de sports se réhabilitent,….Et tout en félicitant tous les efforts sains ,et sans prétendre minimiser ou critiquer certaines réalisations faites qui connaissent du retard ou des échecs , malgré ce qui ne cesse de se dire du négatif sur le PU ( Toute personne intéressée par le sort de notre éducation  peut se demander si   les dysfonctionnement dont parlent les acteurs reviennent en premier lieu à  des erreurs humaines de certains acteurs du système d’éducation et de formation? Peut-on avancer que des acteurs n’ont pas saisie des occasions offertes par le PU , et que d’autres n’ont pas su comment cultivé pour bien semer ,et que d’autres ont crue que seulement les moyens financiers justifieront les fins, et que d’autres semble t-il qu’ils vivent leurs actions dans le virtuel ? et si dans tout cela on enregistre des parcelles  de vérité, Pourrions nous mettre en cause la mobilisation des acteurs ?…) .Pour nombreux observateurs il parait que le réalisé de certains projets reste du domaine du superficiel , et qu’il n’a pas atteint la profondeur requise, les élèves perçoivent qu’ils vivent leurs scolarités seuls, que l’école du respect pour eux n’a pas atteint son but ( on ne peut généraliser même les effets indirectes sur une majorité d’élèves ni des clubs éducatives, ni de d’autres actions comme le soutien scolaire interne ou des cellules de veilles ou d’écoutes,…,car tout cela reste du domaine du très limité ) , tout se fait en dehors des consultations des élèves, des chaises qui ne sont pas confortables pour des élèves (non changés pour des anciens établissements, et ne s’adaptent pas à leurs physiques), et bien que des établissements scolaires commencent à s’équiper de tableaux à stylos feutres (certains enseignants pour des raisons d’économie de la santé humaine n’ont pas attardés à cotiser pour acheter leur propre tableau), d’autres utilisent encore des tableaux noirs anciens, des contenus de programmes scolaires  longs -malgré que cela ne cesse d’être exprimé par les acteurs de terrain – les élèves  sentent pour une majorité d’eux qui sont traînés d’année en année dans une réussite non tangible,  de la violence scolaire verbale qui demeure l’attitude de certains enseignants et agents administratives, la pléthore des classes fait naître des inégalités dans les acquisitions scolaires, les enseignants n’ont pas assez de temps pour venir en aide -en cas de besoin- à leurs élèves(la majorité ont des tableaux de services pleins, comment alors ceux-ci pourront- ils répondre à certaines notes ministérielles les invitants à pratiquer du soutien scolaire interne?). Les élèves observent bien et connaissent ceux qui sont injustes ,ils distinguent bien que des enseignants les prennent comme leurs propres fils, alors que d’autres arrachent leurs cœurs à l’extérieur pour persuader les sociétés de soutien scolaire qu’ils sont les meilleurs, alors qu’ils se foutent carrément de leurs élèves, urgence pour présenter des cours moyens, urgence pour faire des évaluations non équitables, urgence pour perpétrer une insulte, et l’étrange c’est de voire que des défendeurs de l’école publique qui contribuent à cet état, des conseils d’établissements scolaires qui n’ont pas  progressé, c’est ainsi à titre d’indication le conseil de classe avec une orpheline petite heure par semestre demeure par excellence un temps de la pratique d’une sorte de cour de justice où l’on n’évoque que des jugements négatifs, loin de tout acte  d’auto-évaluation propre à chacun de l’équipe éducative dans le but d’apporter des solutions pour une vie agréable à la  vie de la  classe et à celle de la scolarité. Certains acteurs estiment que des élèves sont devenues violents, et accusent les familles de ces actes, et de leur absence à apporter l’aide souhaitée qu’elle sont invité à pratiquer comme elle leur précise la charte de l’éducation et de la formation (mais en vérité plusieurs des associations des parents d’élèves ne sont que décoratives et ne forgent pas dans ce sens),et dans l’absence d’études objectives qui prennent en compte toutes les variables qui influent sur le cursus scolaire des élèves, nous pensons que les Rythmes scolaires, ainsi que l’organisation de la vie scolaire ,et l’incompétence, et/ou la violence de l’acteur éducatif sont de prime abord des causes de telles situations.

Hélas la culture éducative a enraciné  dans des esprits l’attente de textes officiels pour lancer des initiatives (par la faite d’être oublié ,de ne pas être écouté, de l’ insuffisance du contrôle positif, certains acteurs finissent par ne rien écouté de ce qui se livre du ministère) ,comme si l’innovation fuit de notre système, comment alors compter sur le bénévolat des acteurs en l’absence de bénévolat exemplaire? (des acteurs ont finis par suivre le courant du ramassage d’argent, rien n’est devenue gratuite pour eux!). Nonobstant que nombreux d’acteurs en l’absence de temps officiel pour une coordination effective entre les enseignants d’un même établissement, ont crée des domaines virtuels pour exprimer leurs contributions (de multitudes de sites gratuites pour s’entre aider, et aider des élèves loin du copier coller qui a fait de l’éducation un marché du  ‘‘papier abstrais ’’,et aucun encouragement ne se prononce! sans omettre d’encourager des compétitions qu’organise annuellement le ministère de tutelle), d’autres acteurs investissent en compagnie de leurs chefs en offrant de leurs temps libres pour participer à la réalisation de l’image réelle de l’école de la réussite, Les méthodes des enseignants sont en générale presque inchangeables sauf pour certains qui ont la conviction qu’on modernisant leurs actions didactiques ,ils arriveront à minimiser de l’échec scolaire, & pour les niveaux à examen national tout l’intérêt est donné à la préparation pour réussir l’examen, et non pas à l’acquisition des compétences essentielles, les années scolaires demeurent inchangeables, elles commencent tard et finissent tôt (quoiqu’il existe des solutions très efficace qui pourraient établir un équilibre parfait de l’année scolaire) .

Partant, est ce que réellement tout se déploie pour vaincre les difficultés scolaires des élèves ? Pour réanimer la vie scolaire ? Pour vivre pleinement  l’école du respect? & quelles mesures réelles pourraient-elles s’allier aux mesures traditionnelles qui gouvernent actuellement le paysage de la vie scolaire pour secourir la démocratisation de l’enseignement marocain? Démocratiser un enseignement est-ce  tout simplement réaliser un enseignement de masse ? Est -ce que nous avons faits uniquement pour remplir des cahiers de charges ou c’est notre façon de faire le faire qui n’était (n’est) pas bonne ?

Devrons nous uniquement se féliciter d’avoir scolarisé tous les Marocains en âge de scolarisation, et de nous réjouir de travailler à les garder au minimum jusqu’à la neuvième classe du collège sans  garantir un apprentissage effectif pour chacun d’eux?

Avec et sans Programme d’urgence la hâte guète presque toutes les manouvres des acteurs du système, ni des formations continues atteignent leurs buts, ni des projets s’installent avec efficacité et efficience, ni des enseignements atteignent la qualité requise! Malgré l’intégration de la pédagogie de l’intégration qui se conteste par plusieurs.

Urgence dans la classe, urgence dans des formations dites continues, urgence dans l’application de notes,….Pourquoi plusieurs actions se fabriquent d’urgence pour répondre d’urgence à des buts urgents ? Ne parait-il pas que la concentration se fixe sur le quantitatif au détriment du qualitatif ? Ne parait –il pas aussi qu’on modernise l’école marocaine tout en gardant une nostalgie pour le travail traditionnel? Très proche d’une pseudo-ignorance de ce qui se façonne de la part de plusieurs acteurs de terrain, faudrait-il  lancer un plan d’urgence pour une remobilisation plus serine des acteurs? Certaines équipes d’éducation qui ont examiné l’état d’avancement de certains projets du PU ont décelé des causes de l’échec dans ce domaine, et commence à arranger les choses –ça fait parti du  PMO (Le Project management office) projet adopté comme stratégie du développement du secteur de l’éducation par le ministère du tutelle, tout en veillant à ce que les projets du PU accèdent leurs buts dans des meilleurs rapports coûts/qualité/délais, et d’échapper à des échecs dans les processus d’exécutions des projets qui sont dus essentiellement à un manque ou  à une mauvaise application des méthodes de gestion de projet.

Mais on estime que d’autres équipes qui ont sillonné les Académies Régionales de l’Éducation et de la Formation du Royaume(AREF) pour apporter des informations sur certains projets n’ont réussi qu’à faire perdre de l’argent inutilement malgré leur bonne attention, Est-ce  que cela est dû au faite de l’absence de stratégie fluide régionale et locale au niveau de certaines AREF pour le bon suivi du déroulement des changements? Ou est –il  dû suite à des imprécisions des responsabilités en l’absence des responsabilisations? Ou a certains mauvais choix(ou de gouvernance de la part) de responsables? Ou alors ce sont les attentes qui dépassent les budgets alloués… !

Après tout ce qui compte le plus est le travail sérieux marié à l’optimisme pour ne pas gagner -tôt au tard- une réussite temporaire, mais pour répondre à la très grande préoccupation qui est : comment faire durer la réussite que le système d’éducation et de formation tend à cueillir ? Cela certainement ne va pas venir du néant, mais de la continuation du travail amorcé par le ministère de tutelle avec un courage et une volonté à s’échapper à toute forme d’égoïsme fonctionnaire qui s’observe, et qui implante des inégalités qui se présentent dans le système. Nous nous ne voulons en aucun cas à travers ces quelques lignes, blâmé quelqu’un en particulier d’un certain échec, et ce n’est pas notre fonction ;mais nous insistons sur le faite que la responsabilité est partagée par tous les acteurs (y compris les acteurs subordonnées dans les cas pour lesquels ils ont été consultés et préparés aux opérations d’exécutions), bien que certains en assument le grand morceau, il s’agit de notre Éducation et de notre Formation, et chacun de nous devrait participer à son développement.

Tant qu’on n’a pas fourni à chaque acteur l’environnement approprié à la pratique réussie de ses fonctions; tant qu’on n’a pas choisi la personne convenable à la place convenable( des personnes qui coupent leurs souffles pour le bien de leur patrie, de vrais as qui n’attendent ni remerciements ni rémunérations additives, et qui pensent toujours qu’ils sont des élus de la société ,même s’ils ne sont pas élus directement );tant qu’en n’a pas investit convenablement sur le facteur humain; tant qu’en n’a pas limiter la durée d’occupation des postes de responsabilité ; tant qu’on n’a pas responsabilisé,…,on s’attardera à atteindre l’autre rive, parce que le système d’éducation et de formation ne soufre pas d’un manque de compétences ,mais il soufre d’une vraie concomitance?

Si des environnements ne se purifient pas, le décollement sera aussi lent, et l’urgence n’aboutira qu’à provoqué des inégalités additionnelles à celles présente. Ne devrons-nous pas s’arrêter un moment pour questionner ensemble le parcours entamé pour garantir une forte adhésion des acteurs pour une poursuite juste?

Les faiblesses qui s’affichent cachent la lumière de la rénovation éducative, certains acteurs de terrain vivent des changements dans leurs établissements, beaucoup d’autres

Pas encore, ne fallait-il pas soulager tous les acteurs en particulier des changements prévisibles dans le domaine de l’éducation et de la formation avec plus de précisions? Car malgré la présence de leurs représentants dans les conseils d’AREF dont les décisions sont acceptées toujours à l’unanimité, ils continuent à ignorer ce qui va se faire dans leurs établissements, ils sentent que leurs propositions dans les conseils de gestions ne sont pas prises au sérieux. Actuellement tout semble moyennement comme si chacun préfère travailler seul, comme une sorte de vie (ou de propriété) privée, comme si chacun veut terminer ce qui a en main de n’importe quelle manière pour faire passer la relève aux autres ,certains acteurs n’aime pas recevoir des conseils surtout s’ils ne veulent pas rendre transparent leurs travaux, ils choisissent pour les épauler des ‘‘subordonnées machinaux’’, Chaque groupe fait un travail indépendamment des autres, on attend la fabrication de l’excellence, mais en réalité beaucoup de disparités s’enregistrent, peut être que le départ pour certains acteurs n’a pas été opportun pour apprécier une qualité recherchée dans leurs manœuvres (Nous rappelons que la qualité ne s’apprécie pas uniquement par un travail ardu, mais par des interventions pertinentes et bien ciblées d’une personne bien qualifiée qui pense et agit selon les abc de la qualité). À l’encontre de sérieuse personnes ne s’attardent pas à faire pousser ce qui tend à se stagner. Il est impératif Que l’entrée du système de qualité totale dans le domaine de l’Éducation et de la Formation soit bien édifiée!  Et en fin de compte le ministère n’a-t-il pas investit (et le continu encore) sur ses acteurs pour des choix stratégiques? Et n’est-il pas si clair que tous les acteurs jouent des rôles cumulatifs qu’on doit veiller à ce qu’ils convergent vers l’unique ultime vérité : la réussite du système d’éducation et de la formation du Royaume marocain?

L’image du constat du vécu dans le domaine de l’éducation et de la formation a finit par se tracer au grand plan, les efforts justifiés sont félicités ,et des glissements sont dépréciés, des disfonctionnements se corrigent, des renforcements se dressent,  l’entretien se pratique actuellement suite à la vague de revendications, par l’écoute des responsables aux attentes des acteurs, par la réaffirmation de la volonté à réussir ensemble, l’ambition à laisser son non gravé dans le livre d’histoire des exploits des marocains. Le grand intérêt qui se fonde sur la compréhension amplifiée et juste de notre slogan : Allah, la Nation, le Roi.

Quelles sont désormais les innovations qui pourraient renforcer à court terme les actions de rénovations du PU?

À suivre

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