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LA LUTTE CONTRE LA GRANDE CORRUPTION

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  LA LUTTE CONTRE LA GRANDE CORRUPTION

  Il ne faut pas craindre de ruiner et de détruire l’économie de casino, c’est aussi salutaire que l’était l’anéantissement du Reich nazi. C’est au contraire le replâtrage continuel du système, sa continuation, sa survie absurde, l’acharnement thérapeutique à son sujet qui sont catastrophiques.

Il y a désormais partout dans le monde des gens de tout âge, de tout niveau, de tous métiers, qui sont capables de  faire tourner l’économie réelle, très bien et très efficacement. Ils en font d’ailleurs d’ores et déjà la preuve tous les jours. Malheureusement, ils sont harcelés et combattus férocement par des éléments des grands détenteurs de capitaux qui de ce fait arrivent à faire leur main mise absolue sur la totalité des marchés.

Nous pouvons aisément déduire de ces actions louches et inhumaines qui finissent par asphyxier la toute pauvre économie nationale, surtout si elle tente de résister à de véritables opérations de racolages dûment généralisées à tous les échelons du système que :

-La corruption elle-même est un système fortement structuré, géré à la base par des sous systèmes aux dimensions variantes d’une région à une autre, d’un pays à un autre.

-Ce système tentaculaire est géré au sommet par des staffs d’organisations extrêmement,  puissantes, coordonnés mathématiquement et diaboliquement par une  hiérarchie quasi militaire, ayant comme dirigeants suprêmes des dictateurs d’Etats étrangers hyper puissants qui assurent en outre la défense et la protection d’un ensemble imposant de consortiums pluridimensionnels.

-Dans ce macro système, la machine broyeuse de la spéculation fait le beau temps et la pluie verticalement, horizontalement, et évidemment aux niveaux des transversaux, à commencer par la libéralisation et l’encouragement à outrance de ce qui  s’appelle la spéculation populaire.

-Cette machine internationale,   régionale,  nationale, locale s’appuie de toute évidence  sur un réseau d’informations de la dimension de l’ONU et qui s’applique à dominer impitoyablement

au moyen de différents  réseaux de développement de la grande corruption internationale, nationale, régionale ,locale.  La dynamique insufflée scientifiquement et normalement s’appuie elle, sur les synergies de la haute spéculation assurée par des agents copieusement formés et surinformés.

De grâce donc, ne posons guère la question : qui contrôle très étroitement les investissements ? Ainsi les capitaux se baladent autour de la planète, entrent et sortent des pays comme dans un moulin, avec un taux de rendement absurde de 15%.

Comme on peut le  constater honteusement, parler chez nous de la lutte contre la grande corruption, c’est tout au plus ridiculiser les citoyens du fait que ce qui se voit de temps à autre, n’est que le  fruit des miettes de la petite corruption qui n’a rien à voir avec la corruption institutionnalisée par des organismes internationaux qui détiennent des marchés géants, et j’en passe !

On se moque douloureusement de «  la gueule » des gens ! La corruption n’est pas celle que nous nous représentons candidement. Toutefois,  profondément convaincues, et conscientes de l’ampleur du développement de marchés gérés  ouvertement par des cartels de la haute corruption, des ONG, fortes de leurs principes irréductiblement  humanistes, et de leur seule volonté citoyenne se refusent à        baisser les bras face à de tels agissements tristement ravageurs des économies nationales

Les super puissances économiques sauvagement mondialisées qui  ne reculent devant aucun scrupule, persistent et signent, en  se moquant éperdument de ce qui s’appelle « la commémoration de la journée internationale de la lutte contre la corruption » qui  jusqu’à nouvel ordre, gère  inhumainement et irrémédiablement les destins quotidiens des couches sociales populaires lamentablement paupérisées./.

DE VIVE VOIX : Mohammed Essahlaoui

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