L’Algérie a beaucoup misé sur sa politique et son approche sécuritaire qui consiste et se résume à combattre et à éradiquer le terrorisme et l’opposition politique farouche et objective par la force excessive et la violence même si cela mettrait en péril la vie de certains innocents qu’il faut sacrifier pour venir au bout et éradiquer les groupes islamistes radicaux et à neutraliser emprisonner les islamistes modérés qui critiquaient le système, le pouvoir  et qui contestent sa légitimité après l’annulation des résultats des élections législatives démocratiques de 1991 qui ont connu la victoire éclatante des islamistes modérés le FIS.Certes cette approches sécuritaire a permis aux forces de sécurité  ( police et à la gendarmerie) et à l’armée algériennes de vaincre et de neutraliser les rebelles islamistes radicaux qui avaient pris le maquis d’où ils lancaient des attaques meurtières contre les froces de l’ordre et massacraient des civiles qu’ils accusaient de collaborer acec les services spéciaux.

Des opposants algériens à l’exil avancent que les services spéciaux (DRS) sont impliqués dans certains massacre de civiles pour disréditer et dévaloriser le FIS en lui incombant la responsabilités des exactions des abus et affirment que cette approche sécuritaire  a coûté cher à l’Algérie  des dizaines de milliers de victimes et de disparus dans les rangs des civiles  et des milliards de dollars d’équipements d’armements anti terrorisme  et des souffrances des familles des victimes.Ils prétendent que Cette approche sécuritaire a suscité et alimenté des soupçons sur l’implication de certains services spéciaux dans certains massacres de civils rapportés par des des opposants militaires et politiques qui ont fui le pays et se sont refugiés et éxilés en Europe en particulier en France et en Royaume -Unis  et qui ont publié des mémoires, des ouvrages et des rapports sur ce qu’ils considèrent une implication de certains services spéciaux en particulier le (DRS) Département des rensignements et de sécurité) mais qui demeurent non verifiés et seraient des prétentions selon le pouvoir à Alger.

Les services de sécurité pour se prémunir et combattre le terrorisme a procédé à l’infiltration de ces groupes et c’est normale et indispensable mais ils se sont livrés des luttes et ont commis des erreurs en commanditant certaines actions pour discréditer , dévaloriser le FIS et faire tomber le maximum de terroristes dont un nombre non négligable était manipuler selon des sources bien informées et des oposants algériens exilés dans le piège tendu qui vise à encourager la dissidence au sein des groupes islamistes et à encourager des factions dissidentes à s’entretuer et à commettre des crimes. Des oppsants Algériens prétendent que certains services de sécurité manipulaient et tiraient les ficelles pour des buts matéiels et des privilèges et avncent que les services de sécurités travaillaient en fonction des ordres de  certains généraux inflents qui voulaient s’emparer du pouvoir.Des observateurs et des chroniqueurs avisés  affirment que l’Algérie qui cherchait à contenir et à se servir de certains groupes islamistes avant e les neutraliser avec violence et des Touaregs opposés au gouvernement Malien a été victime de sa politique sécuritaire.