Comme tous les autres peuples arabes qui aspirent à la liberté ,à la démocratie le peuple Syrien opprimé,réprimé par un régime répressif articulé par un parti unique qui contrôlait la vie politico-économique depuis 1963 et privait les citoyens de leurs droits fondamentaux et leur refusait le droit de manifester, de revendiquer, la liberté,les réformes politiques et qui réprimait brutalement toute contestation,manifestation,expression de mécontentement,ou revendication légitimes,et usait de la force excessive afin d’etouffer toutes les voix revendiquant la liberté d’expression, se servant de toutes les pratiques,les méthodes répressives afin de faire taire les contestataires en les enlevant,les emprisonnant,ou les liquidant ,en les assassinant comme il fait ces dernières semaines en empolyant  la force excessive, la répression ,les armes, les moyens inhumains dans le but d’avorter toute contestation.

Le régime répressif en Syrie qui craint l’onde de choc de la révolte,avance l’argument de l’état de guerre contre l’Etat Hébreu pour refuser le pluralisme, la démocratisation de la vie politique,  opte pour l’utilisation de la force, la manière dure, brutale pour mettre fin aux manifestations de beaucoup de syriens qui ont longtemps souffert de dictature,de répression,d’absence de libertés,qui avaient vécu pendant plus de quatre décennies sous la terreur ,l’oppression, la dictature du parti unique qui scandait  le nationalisme arabe,l’épanouissement,le socialisme le » BAATH » lequel a exploité les bonnes intentions,la sympathie des masses, les agressions Israeliennes pour s’agripper au pouvoir et refuser toute revendication de réformes et n’hésite point à accuser tous ceux qui revendiquent la liberté,l’instauration de la démocratie, l’abolition de la loi de l’etat d’exception dont les gouvernants se servait pour etouffer toutes les voix libres qui dénoncent la dictature,l’autoritarisme et réclament la démocratisation de la vie politique.

Le pouvoir à Damas qualifient les contestataires qui dénoncent la dictature,les injustices,qui aspirent à la libeté,à la démocratie de traitres,de déstabilisateurs,d’agents à la solide et au service de l’occident, de l’impérialisme occidental et Israelien.Au lieu de tirer des enseignements des révoltes en Tunisie,en Egypte et agir intelligement en opérant des réformes politiques qui désamorcent la crise et ouvrent des horizons des perspectives,répondent aux revendications ,aux attentes légitimes du peuple ,d’évoluer de progresser le régime dictatorial en Syrie a opté pour les méthodes, les politiques répressives qui font beaucoup de victimes,cause la fracture sociale,affablit le front intérieur et ne résolvent pas la crise mais l’accentue,l’aggrave ,conduisent à l’impasse.Le régime  de Bachar al Assad commet la même erreur fatale que Kaddafi qui a massacré des milliers de ses compatriotes qui revendiquent la démocratie.

Les démocraties occidentales conscientes du rôle stratégique de la SYRIE dans le réglement du conflit Palestino-Israelien;la réduction de la tension au Liban, cherchant à l’éloigner de l’Iran un voisin incontrôlble réagissent timidement et hésitent à prendre des sanctions dissuasives qui obligeront le pouvoir à  Damas à cesser d’user de la force excessive,de massacrer des civils ,de changer de politique,d’adopter des réformes politiques,à opter pour la démocratie.La communauté internationale,l’O.N.U doivent assumer leurs responsabilités et dénoncer les violations des droits de l’homme,l’utilisation de la force ,le massacre des  civils ,prendre des sanctions contre les autorités Syriennes qui usent de la violence,répriment brutalement les citoyens qui tentent de s’exprimer afin de les contraindre à respecter les droits fondamentaux des syriens qui manifestent et revendiquent la liberté,la démocratie.