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Si j’étais ministre de l’Education nationale, …

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Si j’étais ministre de l’Education nationale, je ferais ce qui suit:

Je me battrais avant toute chose au sein du gouvernement pour que la part importante du budget, destiné aux ministères, soit consacrée à l’enseignement, puisque ce dernier est primordial, vu qu’il est le secteur stratégique pour tout développement.

Je construirais, dans chaque campagne, une école, un collègue et un lycée et ce, pour lutter contre la déscolarisation et la deperdition scolaire; d’autant plus que la plupart des cadres et savants sont originaires de la campagne.

J’apprendrais à chaque élève les langues vivantes et les Sciences, mais aussi un ou plusieurs métiers de sorte que son parcours soit couronné par un certificat d’études et un dipôme professionnel, lui permettant de poursuivre des études approfondies et/ou d’accéder précocément et surtout facilement au marché de l’emploi.

Je ferais de l’éducation artistique, environnementale et routière, du théâtre et de l’art cinématographique des séances autonomes et à part entière des programmes scolaires, mais, je séparerais entre les sexes au sein des établissements en l’absence d’éducation sexuelle.

Je réduirais l’effectif du groupe-classe en maintenant le nombre d’élèves au chiffre de 18 et ce, pour éviter l’encombrement et permettre ainsi aux éducateurs d’établir l’ordre et la discipline afin que l’atmosphère soit favorable au déroulement des leçons et que la rentabilité soit assurément satisfaisante.

je doterais chaque apprenant d’un ordinateur avec Internet, vu que le Web est de nos jours la principale source d’information, sachant aussi que la craie et le tableau noir, le crayon et le papier sont en train de disparaitre à jamais.

Je récompenserais les meilleurs élèves ainsi que les professeurs et les parents, dont les élèves obtiennent régulièrement de bons résultas et désignerais, d’autre part, des profs compétents pour assurer des séances de soutien et de consolidation aux plus démunis jusqu’à ce qu’ils soient capables de s’assimiler aux prodiges.

Je transformerais, l’après-midi, les salles de cours en lieux et ateliers de travaux manuels et d’activités ludiques en vue d’amener l’élève à donner libre cours à son esprit imaginatif et à mettre à l’épreuve ses capacités créatives.

Ce ne sont que des rêveries diurnes, dirait-on, toutefois, c’est comme ça ou presque que fonctionnent les choses au Pays du Soleil Levant et sur l’autre rive de la Meditérranée. Des suggestions qui pourraient sauver notre système éducatif à la dernière minute.

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