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LES TRAILEURS DU ROYAUME SE DONNENT RENDEZ-VOUS A LA SECONDE EDITION DU TRAIL AJDIR PREVU SAMEDI 18 OCBRE 2014

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LES TRAILEURS DU ROYAUME SE DONNENT
RENDEZ-VOUS A LA SECONDE EDITION
DU TRAIL AJDIR PREVU SAMEDI 18 OCBRE 2014

Après la grande réussite de la seconde édition du Trail Tourtite organisé à Ifrane en Juillet dernier par les Ski Club Ifrane et Azrou sous l’égide de la Fédération Royale Marocaine de Ski et de Montagne, cette dernière revient à la charge et organise le deuxième Trail d’Ajdir dans la province de Khénifra le samedi 18 octobre 2014 prochain sur distance de 30 kms de course à pied qui aura sur le Plateau d’Ajdir au milieu d’un environnement forestier varié à prédominance de cédraies et de chênaies offrant un paysage naturel magnifique.
A cette occasion, la FRMSM a organisé vendredi dernier une conférence de presse a Casablanca pour jeter plus de lumière sur cette épreuve qui se déroulera en semi-autonomie sur un parcours balisé dont l’altitude varie entre 1600m et 1750 m connaitra la participation massive des meilleurs traileurs amateurs de cette course d’endurance et de dépassement de soi en montagne sociétaires des différents clubs affiliés à la Fédération organisatrice ainsi que des amateurs non licenciés qui participeront en Open
Les inscriptions sont faites directement par internet : via le site de la FRMSM (www.f.rmsm.ma ) ou imprimer le formulaire et l’envoyer par fax au 0522 47 49 79. Les inscriptions sur place se clôtureront (Plateau Ajdir –Khenifra) le 17 Oct 2014 à 19h00
Les courses sont ouvertes aux hommes et aux femmes âgés de 18 ans et plus avec la condition de respecter la loi du 03-09 sur l’Education physique et aux sports, notamment en matière de certificat médical (cf bulletin d’inscription).
Les participants doivent être bien entraînés et familiarisés avec les imprévus qui peuvent survenir en montagne et la participation au Trail d’Ajdir implique l’acceptation expresse par chaque concurrent du règlement technique de l’épreuve. Il s’engage sur l’honneur à ne pas anticiper le départ, à parcourir la distance complète avant de franchir la ligne d’arrivée et à respecter la charte d’éthique du Trail d’Ajdir 2014. Le départ sera donné le Samedi 18 Oct 2014 à 08h30 au plateau d’Ajdir devant l’auberge du Club Esmoun N’ari.
Aussi, Les coureurs doivent être munis d’une réserve d’eau ou de boisson énergétique d’un litre minimum, une  couverture de survie pour le bivouac, un téléphone portable et un sifflet.
A noter que le trail ou la course nature est un sport de course à pied, sur longue distance, en milieu naturel, généralement sur des chemins de terre et des sentiers de randonnée en plaine, en forêt ou en montagne.
Depuis quelques années, le trail rencontre un succès grandissant en Amérique du Nord, en Europe et au Japon. Aux États-Unis, le nombre de coureurs de trail est passé de 4,5 à 6 millions entre 2006 et 2012.   En Europe, les pratiquants seraient 8 millions.
Le trail est le terme le plus courant en français, notamment dans les médias spécialisés, pour désigner globalement le sport de la course à pied en pleine nature. Ce terme est un anglicisme dérivant de l’expression « trail running », qui signifie littéralement « course à pied sur sentier » et qui désigne dans les pays anglophones la même pratique.
Un trail désigne aussi un évènement (compétition) de ce sport, avec une définition et des règles variables selon les organisations sportives. Dans le langage courant, « courir un trail », désigne généralement le fait de participer à une épreuve chronométrée, alors que « pratiquer le trail » fait référence au sport trail en général. Le pratiquant se nomme athlète, coureur ou traileur (au féminin, traileuse).
D’autres expressions françaises désignent parfois globalement ce sport ou loisir, notamment « course nature », souvent utilisée par les médias généralistes pour expliquer le trail auprès du grand public ou plus rarement « course tout-terrain ».
Quand le terrain est montagneux, les médias et pratiquants désignent très souvent ce sport par « course en montagne ». Mais la course en montagne peut inclure des courses sur route (à l’inverse du trail) et son parcours implique toujours un important dénivelé cumulé (cotes à monter ou descendre).
Selon les spécialistes, Le trail est généralement distingué du cross-country qui se court également sur un terrain naturel. Les épreuves de cross-country sont courtes (3 à 12 kilomètres) et le terrain balisé est large (au moins 6 mètres) afin de favoriser les stratégies d’équipe. Les épreuves de cross-country sont fortement réglementées (par des fédérations nationales) pour le choix du parcours, les risques et les obstacles autorisés, la distance et les critères de compétition. À l’inverse, l’organisation de compétitions de trail est libre (parcours, inscriptions, règles) et les distances dépassent généralement 10 kilomètres et peuvent dépasser 100 kilomètres pour certains « ultra-trails ».
Le trail est généralement distingué du raid nature ; le parcours d’un raid peut être réalisé en plusieurs étapes (nuits de repos), nécessiter une gestion autonome du bivouac et comprend souvent une liberté de parcours ou une difficulté d’orientation. À l’inverse, dans une compétition de trail, le parcours est toujours réalisé sans étapes (pas d’arrêt du chronomètre), avec quelques points de ravitaillements ou repos mis en place par les organisateurs, sur un parcours balisé obligatoire. De même le trail est distingué de la course d’orientation, en raison du parcours balisé. Si un trail peut être couru sur la neige (tel est le cas au au mont blanc : trail blanc), le trail est distingué de la course en raquette.
Le trail se définit principalement par son terrain naturel de pratique, par opposition à la course sur piste d’athlétisme ou sur route. Ce terrain peut être constitué d’herbe, boue, rochers et éboulis, sable et gravier, neige et d’obstacles naturels tels que des troncs d’arbres, des racines ou des cours d’eau. Selon les définitions variables du trail, le terrain de pratique peut inclure des voies pavées interdites à la circulation motorisée, des parcours dans les espaces verts urbains, les chemins forestiers et pistes de protection contre les incendies, les sentiers balisés de randonnée, jusqu’aux sentes de passage des animaux sauvages.
Contrairement aux courses sur route, en trail, la distance à parcourir n’est qu’une des trois données importantes qui définissent le parcours. Les deux autres données fondamentales sont le dénivelé (le cumul de toutes les ascensions qui permet de donner le dénivelé positif total, appelé généralement le D+) et la technicité des chemins (difficultés d’approche, irrégularité et déclinaison des pentes, état des sols, présences de cailloux, etc.).
Il n’existe pas de consensus mais on estime généralement que 100 mètres de D+ équivalent en fatigue à 1 km de plus couru sur du plat. Par exemple, un trail de 17 km avec 400 m de dénivelé positif demandera un effort équivalent à un semi-marathon(21 km). C’est important quand il s’agit d’estimer le temps que l’on va mettre à boucler la distance totale (prévoir son allure, calculer ses besoins en eau et en nourriture, déterminer la durée de ses sorties longues préparatoires, etc.).
Les trails peuvent être pratiqués tout au long de l’année, quelles que soient les conditions climatiques (neige, pluie, chaleur extrêmes) et sur des amplitudes horaires très variées. Il n’existe aucune règle concernant les heures de départ puisque certaines courses ont lieu de jour, d’autres de nuit ou bien, pour les plus longues sur plusieurs jours et/ou nuits. Les trails nocturnes, tels que le Noz Trail sont de plus en plus fréquents. En trail, la notion de proximité avec la nature est importante. Le respect absolu de l’environnement est souvent mis en avant et l’organisation fait le plus souvent en sorte que le passage des coureurs ait un impact réduit sur la nature (zone de propreté proche des ravitaillements voir pas de ravitaillement du tout). En effet, selon les courses, l’organisation peut prévoir des arrêts ravitaillements en cours de parcours mais de plus en plus d’épreuves sont organisées en semi-suffisance (ravitaillements éloignés de plusieurs dizaines de kilomètres les un des autres) ou en auto-suffisance (ravitaillement à l’arrivée uniquement). Le parcours est toujours sécurisé par du personnel, le plus souvent des bénévoles, placés aux endroits potentiellement dangereux ou aux traversées de routes. Les organisateurs et les coureurs mettent également souvent en avant la convivialité de la discipline et sa mixité, les sportifs amateurs côtoyant les sportifs professionnels.
Lors de compétitions de trail, les distances annoncées sont souvent approximatives. Il n’est pas rare que le parcours fasse quelques mètres voire quelques kilomètres de plus ou de moins que ce qui est annoncé.     D’une année sur l’autre, une même épreuve peut également avoir un tracé légèrement différent. Le temps réalisé par un coureur sur un trail n’a donc pas la même importance que sur une course plate sur bitume, d’autant que le dénivelé influe directement sur le temps total. C’est donc plus généralement son positionnement dans le classement d’arrivée et l’écart avec les premiers qui permet de déterminer la performance, le chronomètre n’étant qu’une donnée indicative.
La notion de finisher a également une grande importance. Ce terme désigne les personnes qui ont passé la ligne d’arrivée avant la fin du temps imparti. Être finisher de certaines courses peut notamment rapporter des points permettant de s’inscrire à des courses prestigieuses et en particulier l’Ultra-Trail du Mont-Blanc. D’ailleurs pour cette dernière, l’ensemble des participants est composé d’une centaine de coureurs aguerris surveillant le chronomètre, mais surtout de coureurs réguliers dont le seul but premier est d’êtrefinisher.
Enfin, les récompenses aux vainqueurs et aux finishers (le plus souvent des gadgets, des tee-shirt ou des médailles souvenir) sont sans commune mesure avec les primes que touchent les vainqueurs des courses sur routes célèbres tels que les marathons des grandes capitales (New-York, Londres, Paris, Berlin, ou Rome par exemple) appel donc est lancé à nos organisateurs et nos athlètes nationaux : Les récompenses aux vainqueurs et aux finishers (le plus souvent des gadgets, des tee-shirt ou des médailles souvenir) sont sans commune mesure avec les primes que touchent les vainqueurs des courses sur routes célèbres tels que les marathons des grandes capitales. Et les chasseurs de primes n’ont qu’à chercher ailleurs s’il vous plait.
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