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marrakech:un fipol pour la sauvegarde de l’environnement marin

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La ministre de l’énergie, des mines, de l’eau et de l’environnement, Mme Amina Benkhadra, a réaffirmé mardi  29/03/11 à Marrakech l’engagement total  du Maroc pour la sauvegarde de l’environnement marin et pour la lutte contre la polution marine en but de la présérvation des ressources et des richesses de la meditérannée et de l ‘océan atlantique .

« Le Maroc est résolument engagé pour la sauvegarde de l’environnement marin au niveau maghrébin et euro-méditerranéen », a déclaré Mme Benkhadra à l’ouverture dans la ville ocre des sessions de printemps des organes directeurs des Fonds internationaux d’indemnisations des dommages dus à la pollution par les hydrocarbures (FIPOL, basé à Londres).

La ministre a indiqué que l’ouverture du Maroc sur deux façades maritimes (Atlantique et méditerranée),  lui confère une position géographique majeure  et avancée dans l’intense trafic maritime au large de ses côtes atlantiques et méditerranéennes, ses secteurs vitaux comme la pêche maritime, le tourisme et l’activité portuaire importante enrichissent cette hypothése.

Cette situation favorable à la vocation maritime  importante du Maroc et sa grande contribution au commerce international n’est pas cependant exempte de risques d’accidents pouvant engendrer des pollutions majeures, a-t-elle dit.

En dépit des efforts déployés par les Etats  membres pour parer aux risques des pollutions maritimes, les menaces persistent a-t-elle ajouté.

Elle a rappelé  aussi , que le Maroc a échappé de justesse à une pollution du même ordre à la suite de l’explosion  au large de ses côtes atlantiques du pétrolier Kharg (en 1989) et la collision du pétrolier Sea Spirit près des côtes méditerranéennes.

« Ces deux événements qui ont failli causé une catastrophe écologique dont les conséquences auraient été lourdes pour le pays, ont eu au moins le mérite d’attirer l’attention sur les dangers qui guettent une zone maritime fréquentée par de nombreux pétroliers et autres navires de transport de produits dangereux qui traversent chaque jour le détroit de Gibraltar et sillonnent les eaux marocaines », a noté benkhadra.

notre pays organise régulièrement des simulations qui mettent en commun tous les moyens des départements concernés, permettant de tester les capacités de réaction du Maroc à ce type de risques mais cela reste inssufisant vis a vis des dangers reels qui peuvent engendrer des dégats intenses en cas de catastrophes marines.

les fonds océaniques hébérgent une multitude d éspécses animales et végétales qui sont en voie de disparition et qui sont menacées par les produits nocifs et toxiques tels que les hydrocarbures et les residus délaissés par les engins qui flottent sur la meditérannée et l’ océan atlantique.

Les causes de ce déclin sont multiples mais toutes d’origine humaine.
Près d’une espèce marine sur trois est en voie de disparition – Poissons et crustacés disparaîtront  d’ici 40 ans
Des scientifiques démontrent que l’épuisement de l’écosystème marin menace la sécurité alimentaire et écologique de la planète.

La disparition accélérée de la biodiversité marine résultant de la pêche excessive et de la pollution menace la sécurité alimentaire de la planète et l’environnement, mettaient en garde  des scientifiques américains et canadiens.

Si les tendances actuelles se poursuivent, la quasi-totalité des espèces de poissons et de crustacés auront disparu des océans avant 2050, affirment ces biologistes et économistes dans l’étude la plus exhaustive conduite à ce jour sur ce sujet et publiée dans la revue américaine « Science ».

l’humanité semblait considérer l’océan comme une source de ressources infinies.   Son immensité et la profondeur et des frontières inexplorées fait l’océan semble invulnérable à la surexploitation. La vérité est que les populations de nombreuses espèces sont en baisse à un rythme insoutenable, et le nombre d’espèces inscrites comme étant menacées de familles la vie marine comme les baleines , les dauphins , les lamantins et les dugongs , le saumon, les oiseaux marins, les tortues de mer, et les requins.

le mérou est l ‘un des animaux marin en voie de disparition dans la méditérannée et qui vit entre saidia et oran et dans d autres regions meditéranéénnes .

l’écosystéme marin présente le 3/4 de notre ecosystémé global ,son dédomagement risque de nuir  a l’équilibre de la vie de la faune et de la faune terrestre surtout en présence d ‘accidents tels que la catastrophe nucléaire du japon qui a engendré une forte radio-activité dans les eaux marines .

Bref , serons nous loin de cet accident écologique néfaste  ? aurions-nous la possibilité de prevenir contre la polution marine par le biais de mesures reels et sur le terrain pour la lutte contre des événements  semblables  et dont les menaces sont de grande ampleur ?

d’autre part ,est ce que la société civile et les associations se mobiliseront pour la protection des eaux marines nationales en général et de la zone cotiére orientale ( zone de saidia )en particulier qui est un exemple frappant de la dégradation de l écosystéme marin , qui abritait des éspéces marines disparues a cause de la pollution en premier lieu ?? ou bien , ces manifestations  seront uniquement ,des colloques verbaux qui manquent de pratique et d’engagement collectif pour un environnement saint et propre.

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