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LEURS DECLARATIONS SUR LE NO KILL ET LA PECHE DU BLACK-BASS AU MAROC

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M. Julien Lajournade (français), pêcheur, rédacteur en chef du Magazine « Voyages de Pêche ».
Je crois que le développement de la pêche sportive telle qu’on l’entend en France est important dans bien de région a travers le monde aujourd’hui qui ont divers difficultés et c’est un moyen formidable de faire venir les gens dans des régions qui ne sont pas forcément visitées par des touristes  spontanément donc ont les attire, on crée des structure pour leur accueil et ont formé des gens de la région car il faut que les locaux en profite que ce soit au niveau de l’hébergement, de la pêche à proprement parler, mais avec tous les dérivés ; ça peut être les mécaniciens pour les moteurs et les véhicules etc … donc c’est un fort développement socio-économique dans bien des région du monde. Jusqu’à maintenant, on peut dire que la pêche était un tout petit loisir annexe comparé au golf, à l’équitation ou au rallye automobile ou à beaucoup de chose. Ceci est en train de changer sur la volonté de pays ou de régions de montrer un aspect de développement durable et de protection de l’environnement parce que contrairement a ce que des gens pensent ou crois, la présence de pêcheurs sportifs dans des zones du monde a permis de limiter le braconnage et la surpêche.
Je vais essayer d’être simple mais je pense que le développement se fera d’une manière convenable si il est fortement encadré car aujourd’hui, le problème que ce soit au Maroc ou ailleurs, c’est que des gens se positionnent en tant que spécialistes tu tourisme de pèche ou des circuits de pêche alors qu’ils n’ont aucune légitimité, ils n’ont pas de licences, pas de formation et n’ont pas d’assurance et ça ; ça mène à des situations catastrophiques. Donc pour l’avenir de la pêche sportive au Maroc, il faut structurer et encadrer sévèrement je dirais ; dans un premier temps, tous les acteurs pour que tout le monde prenne la même direction ; Voilà. Il n’y a aucune raison que ce soit des gens venus de  l’étranger un petit peu discrètement qui organisent ce gens de pêche sans que les marocains en profitent à tout niveau.

Franck Rosman, Président fondateur de l’Association « Balck-Bass France » et chef de produits SAKURA (SERT).
Pour le chef de produits de la marque SAKURA (SERT) et Président fondateur de l’Association «Black-Bass France » qu’il a créée en 1994 pour réunir las passionnés du Black-Bass, ce dernier est un poisson de sport très populaire a travers le monde et qui est présent au Maroc depuis des années  déjà et qui attire du monde et qui depuis quelques années a suscité vraiment l’engouement des pêcheurs marocains
Ces derniers ont fait appel à moi depuis quelque années déjà, y’a trois ou quatre ans, pour essayer de rapporter un peu mon expérience a ce sujet et ma connaissance de ce pêche de ce poisson et par le biais du matériel mais aussi par le biais de ma connaissance en tant que président de l’association.
Alors on peut se poser la question pourquoi ce Black-Bass ? Alors tout simplement parce que c’est un poisson très agréable à pecher parce qu’il est assez fantasque, il peut changer de comportement dans la journée ; du jour au lendemain. On n’est jamais sûr d’avoir la capture mais quand on arrive à l’attraper on voit qu’il est un poisson très combatif qui saute hors de l’eau, qui tire beaucoup sur le fils et sur la canne. Il donne beaucoup d’émotion au pécheur est c’est un poisson aussi avec lequel on peut procéder au No Kill : c’est-à-dire qu’il n’est pas un poisson très fragile il faut quand même le manipuler correctement et faire attention mais ; c’est poisson qu’on peut lâcher après la capture parce qu’on le considère comme un peu comme un partenaire et pas une proie qu’on va pêcher pour manger mais c’est comme si on joue une partie d’échec avec un ami ; un adversaire et on se fait la bataille pour voir qui c’est qui va gagner la partie et des fois c’est le Black-Bass qui gagne puisqu’on arrive pas à l’attraper et des fois c’est nous.  Mais comme il nous a offert beaucoup de sensation et beaucoup d’émotion on le relâche et on le remet à l’eau pour essayer peut être de le reprendre une autrefois quelques jours après mais aussi pour le partager avec quelqu’un d’autre.
Dans les zones protégées ou en tout cas dans les zones rurales dans lesquelles les plans d’eau sont restés comme sans beaucoup d’activités, si on veut développer un peu à la fois des emplois et une activité touristique au tour de ça, ça va intéresser une marge des pécheurs importante et ce black-bass-là est surement trop recherché à travers le monde et si le Maroc peut proposer des structures à la fois d’hébergement, d’accompagnement de pêche et de qualité de pêche avec des beaux poissons en quantité raisonnable, les pécheurs viendront ici passer quelques jours parce qu’on avion on est rapidement emmené depuis la France, les espagnoles aussi, les italiens qui  de grands pêcheurs de Black-Bass viendront au Maroc pour pêcher le Black-Bass marocain et bénéficier aussi de la gastronomie de tout ce qui va autour. Cette premier Edition organisée là au Maroc est très bien réussie, la pêche a été assez dure mais quand même c’est fructueuse car il y‘avait beaucoup de poissons pris de plus de 2 kg par fois tous remis a l’eau juste après la photo de contrôle.

Ouhlal Hatim, vice-président de l’association Black-Bass Maroc  
On fait la peche No Kill pour le Black-Bass parce que déjà c’un un poisson noble sportif alos on essaye de preserver au maximum cette population en relachant les prises. C’est tout à fait normal por garder la meme densité de poisson et puis, c’est un sport donc forcement le but c’est de prendre du plaisir et partager avec les amis cet esprit naturen esprit de concervation. Forcement le No Kill devient une question principale. La premiere manche du matin a été plus au moins moyennement acceptable vue que l’activité et st très très faible ; le niveau de l’eau ne cesse de diminuer donc le poisson prend le fond  et il n’est pas accéssible du bord

Angella montaci, allemande pêcheuse
C’est pour moi un très grand plaisir de participer à cet évènement aujourd’hui et je suis une très grande Fan de la pêche en No Kill. La première manche de cette journée c’est très bien passée pour l’instant, et je suis très heureuse de participer à la deuxième manche.

M. Sylvain Bidot (français), pêcheur, animateur de média en ligne sur la pêche     
Le concours en No Kill c’est bien sûr ; pour pouvoir préserver la ressource et essayer de développer un tourisme halieutique autour de ce poisson sportif qu’est le Black-Bass et, étant donné le potentiel énorme qu’il y-a ici au Maroc, on est tous venu ici pour essayer de capturer les plus jolis Bass du lac. Ce matin ; ça a assez bien commencé pour les gars qui étaient de notre côté puisqu’il y’en a qui ont réussi de faire un quota de 10 poissons et moi je pense en faire de plus jolis j’ai eu la chance de toucher un poisson de 51 cm t etre a cin poisson.

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