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Taourirt : LA ZONE DU COULOIR TAOURIRT-AL AÏOUNE

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L’ESPACE DE PROJET de Taourirt

L’ESPACE DE PROJET d’Al Aïoune

L’espace de projets de Tafoughalt

L’ESPACE DE PROJET de Taourirt

1. Caractéristiques générales

Cet espace comprend, en plus de la ville de Taourirt, en pleine croissance démographique, récemment érigée en chef-lieu de province, quatre communes rurales, à savoir : Malg Al Ouidane, Gtetere, Mastigmer et Ahl Ouad Za.

Disposant d’importantes superficies de terres agricoles, dont une bonne partie irriguée, et de vastes terrains de parcours, cet espace de projets se caractérise par un climat aride où le nombre de jours de pluie ne dépasse guère une quarantaine par an. Il dispose localement d’espaces agricoles en développement, notamment sur les piémonts et le long des cours d’eau essentiels. Les eaux de l’Oued Za offrent d’importantes possibilités pour le développement urbain de Taourirt et du secteur agricole, notamment après la construction récente du barrage de Laghrass (Hassan Attani).

1.1. Perspectives démographiques

La population actuelle et future de cet espace de projets est largement dominée par celle de la ville de Taourirt. Il est attendu que cette dernière connaîtra un doublement de population au cours des 25 prochaines années, au moment où la population rurale environnante continuera à diminuer dans une proportion importante par émigration, comme il ressort des données ci-après :

Evolution attendue de la population
 
 
Sous – espaces    2000    2005    2010    2015    2020    2025      
Milieu urbain    76.000    93.000    110.000    126.000    140.000    152.000      
Milieu rural    32.000    30.000    29.000    27.000    25.000    23.000      
Total    108.000    123.000    139.000    153.000    165.000    175.000      
Taux d’urbanisation (%)    70    76    79    82    85    87      
Part dans la population totale de la Région de l’Oriental (%)    5,6    6,0    6,4    6,7    6,9    7,0     
Source : Elaboration Edesa

Ainsi, les perspectives d’évolution de la population de cet espace mènent vers une concentration de plus en plus grande dans la ville de Taourirt qui est en passe de figurer, dans les toutes prochaines années, parmi les villes marocaines de plus de 100.000 habitants. Elle devra abriter près des 9/10 de la population totale de cet espace dont le poids démographique enregistre une augmentation sensible de sa part dans la population totale de l’Oriental (moins de 6% actuellement contre 7% à partir de 2020).

1.2. Problèmes dominants

S’agissant d’un espace essentiellement urbain, les principaux problèmes que rencontre le processus de développement sont ici de trois sortes :

une croissance urbaine fougueuse et globalement incontrôlée,
un problème foncier qui constitue l’entrave de taille pour tout aménagement urbain et tout développement socio-économique, dans la mesure où il s’agit pour l’essentiel de terres collectives,
le problème de l’aridité très accentuée qui pose, en termes aigus, la question de la disponibilité de l’eau, pour assurer un développement urbain normal doté d’une base économique solide, d’un côté,  et permettre une agriculture rentable, de l’autre.

1.3. Principaux atouts et potentialités essentielles

Cet espace de projets dispose de nombreux atouts bien diversifiés qui, une fois valorisés de façon complémentaire et intégrée, pourraient largement contribuer au développement de la ville et de son arrière-pays :

La position de carrefour routier, et bientôt ferroviaire, de première importance, peuvent faire de Taourirt une véritable plate-forme de circulation et de transport, pour l’ensemble de la Région, tant vers le port de Bni Ançar (liaisons méditerranéennes), que vers Oujda (Maghreb), et en direction des hauts plateaux méridionaux (Dabdou, Aïn Bni Mathar, Bouarfa, Figuig). Taourirt est ainsi bien placé pour devenir un pôle de distribution, de collecte et de transit, de premier ordre.

L’existence de ressources en eau appréciables, à la fois superficielles, représentées par l’oued Za, bien valorisées par la construction d’un grand barrage, au site de Laghrass, mais aussi souterraines. Cela  représente, dans un milieu aride, un atout de premier ordre pour alimenter la population et l’industrie en eau, mais aussi pour assurer la pérennité de la grande oasis de Taourirt, sans oublier les opportunités que cela peut offrir pour organiser des périmètres irrigués, ou développer l’activité touristique.

L’existence d’un très grand souk de bétail (ovins) qui s’approvisionne dans l’ensemble du couloir d’Oujda et dans l’immense zone des steppes moyennes et méridionales, et dispose d’une aire de rayonnement très vaste, dépassant largement la Région de l’Oriental.

Les apports de l’émigration en Europe, qui représentent une masse monétaire importante, actuellement utilisée principalement dans le bâtiment, mais qui peut être investie dans divers secteurs productifs, et notamment dans la modernisation de l’agriculture et la dynamisation de la petite industrie et des services.

2. projets de développement et d’aménagement du bassin de taourirt

Les projets de développement qui concernent le bassin de Taourirt sont de deux catégories essentielles :

La première catégorie concerne la ville de Taourirt même. Il s’agit d’actions destinées à l’aménagement d’un centre urbain de grande taille, récemment promu en chef-lieu de province et destiné à assurer des fonctions économiques d’envergure, à l’échelle régionale.

La seconde catégorie intéresse un monde rural caractérisé par une pauvreté patente et des retards fort manifestes dans tous les domaines de la vie économique et socio-culturelle, et qu’il s’agit d’intégrer à une économie régionale en mutation.

Il faut insister, d’emblée, que les actions d’aménagement et les projets de développement préconisés pour cet espace, tant au niveau urbain qu’en milieu rural, restent tributaires de la réussite de deux grandes opérations, à caractère vital, à savoir la réforme de la situation foncière et agraire, notamment par l’assainissement des terres collectives largement dominantes, d’un côté, et la gestion rationnelle de la ressource hydrique, de l’autre.

2.1. L’aménagement urbain

L’agglomération de Taourirt compte déjà près de 80.000 âmes. Elle s’accroît à un rythme démographique particulièrement accéléré, ce qui devrait l’amener à doubler d’effectif d’ici un quart de siècle. Cela nécessite indiscutablement, et au plus tôt, l’élaboration d’un Schéma Directeur d’Aménagement et d’Urbanisme (SDAU), pour planifier le développement et maîtriser la croissance d’une ville qui se disperse dans toutes les directions, dans une anarchie indescriptible.

La production de ce document d’urbanisme est d’autant plus indispensable et urgente que le tissu urbain actuel présente toutes les formes de croissance spontanée et souffre de dysfonctionnements multiples. Tout retard dans ce domaine ne pourrait qu’accentuer davantage les problèmes actuels et rendre la tâche encore plus difficile, avec le risque d’hypothéquer les initiatives potentielles d’investissement dans l’économie d’un espace urbain actuellement sans grande capacité de performance et sans attractivité réelle.

2.2. L’alimentation en eau potable

L’un des paradoxes que connaît Taourirt est le manque d’eau potable dans une zone qui en dispose de façon importante puisqu’elle est traversée par l’Oued Za et que ce dernier porte, à l’amont de la ville, le second grand barrage de toute la Région. Cette situation résulte moins de la disponibilité réelle en eau que de l’agressivité du mouvement de construction anarchique qui sévit partout, en raison justement de la situation foncière où prévaut le collectif qui favorise l’éclosion incontrôlée de plusieurs quartiers spontanés et de sous-habitat.

La stratégie de l’alimentation en eau présente deux volets. Le premier consiste en des actions urgentes, destinées à couvrir l’ensemble du tissu urbain en réseaux d’adduction d’eau. Le second réside dans la nécessité d’élaborer un plan à long terme, afin de ne point hypothéquer le développement futur de la ville qui doit disposer, à temps, de quantités d’eau suffisantes pour sous-tendre sa croissance économique et son développement socio-culturel.

Les besoins en AEPI projetés à l’horizon 2025 pour la ville de Taourirt se présentent comme suit :

Besoins annuels en AEPI pour la ville de Taourirt (en millions de m3 )

 
Besoins    2000    2005    2010    2015    2020    2025      
Moyens     3,2    4,0    4,6    5,3    5,8    6,4      
De  pointe     4,0    5,2    6,0    6,8    7,6    8,2     

Cette projection fait ressortir un doublement des besoins en AEPI entre 2000 et 2025, passant de l’ordre de 3,2 à 6,4 millions de m3, ceci dans l’hypothèse où le niveau de consommation moyen par habitant restera stagnant. Or, en fait, il faut tenir compte des besoins qui devront aller croissant, pour répondre à la demande des activités économiques destinées à connaître une expansion notable à l’avenir, afin de donner à Taourirt une base productive, digne d’un important pôle industriel et d’une plaque-tournante dans le domaine des transports et de la circulation, au niveau régional, comme le préconise le SDAR, et d’un foyer industriel important.

A cette demande, devra s’ajouter celle qui sera nécessaire pour appuyer le développement des centres périphériques de Mastigmer, Malg Al Ouidane et Gtetere.  Etant donné que ce dernier est appelé à devenir une station thermale de dimension régionale, ses besoins hydriques augmenteront en conséquence, pour satisfaire une demande touristique généralement grosse consommatrice d’eau.

Dans le cadre de l’alimentation en eau potable du milieu rural, deux projets ont été programmés dans les deux communes d’Ahl Ouad Za et de Malg Al Ouidane.

Le projet destiné à alimenter en eau potable 7 douars relevant de la commune d’Ahl Oued Za, qui consiste à réaliser :

le prolongement des canaux de distribution sur une longueur de 16 km,
la construction d’un réservoir de 50 m3 de capacité,
la réalisation de 13 bornes-fontaines collectives.

Concernant la commune de Malg Al Ouidane, le projet vise à répondre aux besoins d’alimentation en eau potable de 4 douars. Il comprend les opérations suivantes :

le prolongement des canaux de distribution sur une longueur de 9 km,
la réalisation de 5 bornes-fontaines collectives.

2.3. Assainissement

Vu la situation préoccupante où se trouve l’état de l’assainissement à Taourirt, dont le tissu s’étend et éclate de toutes parts, l’élaboration urgente d’un schéma directeur d’assainissement liquide et solide s’impose impérativement pour remédier à un problème de taille qui menace non seulement la santé de la population mais également le développement urbain. Ce schéma d’assainissement est d’autant plus indispensable que la ville de Taourirt se trouve au milieu d’une zone irriguée et sur les bords de l’oued Za, et que toute pollution de ses eaux se répercutera négativement sur l’avenir de «l’oasis» ainsi que sur la production maraîchère et arboricole. Or, cette production agricole constitue l’une des bases de l’agro-industrie de Taourirt. Ainsi, l’action en matière d’assainissement conditionne profondément l’ensemble du devenir économique et social de l’agglomération.

La situation très critique qui résulte de la localisation de la ville sur l’Oued Za implique l’installation d’une station de traitement des eaux usées, afin d’éviter la pollution des deux cours d’eau (Za et Moulouya) et, partant, celle des barrages Mohamed Al Khamis et Machraa Hammadi, sachant que ce dernier fournira l’eau potable pour la plus grande partie de la population de l’Oriental. Cette station d’épuration représente un investissement doublement intéressant : dépollution des eaux usées et réutilisation de celles-ci pour les besoins d’irrigation ou d’arrosage des espaces verts dont la ville est actuellement dépourvue.

Le Schéma d’assainissement liquide en cours d’exécution, et qui se trouve à un stade assez avancé, ne répond pas exactement au souci de protection de la ville et de son oasis contre les risques éventuels d’inondation, d’un côté, et n’intègre pas la nécessité de réutilisation des eaux après leur traitement, de l’autre.

Parallèlement à ce projet d’envergure, il y a lieu d’accorder toute l’attention nécessaire au problème de l’assainissement solide, qui s’effectue aujourd’hui de manière anarchique, avec la multiplication de décharges sauvages tous azimuts. Une décharge municipale, obéissant aux normes les plus rigoureuses, s’impose de toute urgence, pour prévenir l’aggravation des formes de pollution dont plusieurs quartiers de la ville sont le théâtre. De même, le problème de la collecte des ordures doit trouver sa propre solution, étant donné la dispersion et l’éclatement du tissu urbain.

Au total, l’agglomération de Taourirt réclame un schéma d’assainissement intégré qui prend en compte l’ensemble des volets du système, sur le plan technique, tout en considérant les diverses fonctions de la ville et de sa huerta.

2.4. Urbanisme et habitat

Dans ce domaine, il est nécessaire d’insister sur le fait que l’action la plus déterminante est la dotation de la ville et de son oasis d’un schéma directeur spécifique, qui prend en compte les particularités de cette agglomération, au tissu pour la plupart improvisé, et qui nécessite d’importantes actions de restructuration et de réhabilitation, devant s’inscrire dans l’aménagement de l’oasis locale.

Dans le même souci de maîtrise de l’urbanisation, les petits centres émergents de la zone devront être dotés chacun d’un plan d’aménagement pouvant lui assurer un développement harmonieux. Là aussi, le cas de Gtetere s’individualise parce qu’il requiert un document d’urbanisme approprié pour l’aménagement d’une station thermale de qualité.

En matière d’habitat, les organismes publics (ANHI, ERAC, SNEC, CGI…) sont appelés à participer activement à l’effort de développement de la ville, et ce en aménageant des lotissements de qualité, susceptibles de donner à Taourirt le caractère de citadinité qui lui manque jusqu’à présent, d’être ainsi des modèles de promoteurs démonstratifs pour le secteur privé et l’auto-construction, et mettre en place des mécanismes de lutte contre l’habitat insalubre. Des actions concrètes sont préconisées :

création de zones tampons ou de villages-satellites avec des plans d’aménagement bien étudiés, dans le but d’atténuer l’intensité de l’immigration d’origine rurale à Taourirt, littéralement envahie par des afflux de toutes origines ;
aménagement d’un nouveau quartier avec près de 3000 lots sur une superficie de 90 ha ;
aménagement du centre-ville pour donner à Taourirt un cœur structuré autour duquel l’agglomération doit s’organiser et s’épanouir.

Il va sans dire que ces perspectives ne peuvent être réalisées que si la question du foncier est définitivement réglée dans les plus brefs délais et de la manière la plus satisfaisante. En effet, il y a lieu de signaler que l’Etat a appliqué à la zone de Taourirt des procédures de délimitation administrative en vue de pallier le problème foncier. Toutefois, ces mesures n’ont fait que compliquer davantage la situation foncière du fait de l’absence d’une stratégie globale et bien définie en la matière.

La conséquence directe de ce problème figure dans le gel actuel de grandes superficies de terres collectives, ce qui a empêché leur usage au profit de projets publics et privés de développement et de mise en valeur. Face à cette situation, la nécessité de traiter les grands problèmes fonciers s’avère prioritaire et urgente. Dans ce sens, l’intervention des pouvoirs publics doit être orientée vers le dépassement du gel concernant les terres à statut collectif et leurs modes d’exploitation jusqu’à présent non efficients et peu compétitifs. Cela nécessite, entre autres :

La réalisation d’un inventaire exhaustif des composantes du patrimoine foncier collectif, sachant que ces terres n’ont pas encore été soumises à la procédure de délimitation administrative et d’immatriculation foncière. Cette opération doit être conduite par les soins de l’autorité de tutelle et doit être réalisée dans les plus brefs délais, avec cartographie à l’appui, afin de disposer d’un recensement complet de l’assiette foncière collective.

L’intensification et la simplification des opérations de délimitation dans le sens d’un assainissement selon les règles de l’art, afin de se prémunir contre toutes les tentatives d’appropriation, de confiscation, de détournement ou de squatterisation.

La délimitation des terres collectives à usage de parcours et la fixation des modalités d’usage et d’exploitation dans un sens favorable aux besoins de l’élevage et à l’équilibre de l’écosystème.

La révision des textes réglementant les terres collectives dans le sens de leur garantir des niveaux d’exploitation et de mise en valeur conformes à leur vocation pour les besoins de l’urbanisation ou de l’agriculture et l’élevage.

L’encouragement de modes d’exploitation sur une base coopérative permettant de moderniser la mise en valeur des sols et de mobiliser les usagers en faveur de l’adoption de techniques productives appropriées afin d’améliorer les rendements et les niveaux de vie des populations concernées.

Le développement de formes de partenariat entre les communautés locales et les promoteurs privés, au moyen de formules de location à durée convenable, permettant de garantir la rentabilité et la durabilité des projets initiés et les entourer des garanties nécessaires à l’investissement pour la promotion de filières de production viables.

D’autre part, la Qasbah de Taourirt qui constitue un patrimoine historique et qui se trouve malheureusement dans un état de délabrement et de dégradation très avancé, nécessite l’élaboration d’un plan de restauration et de réhabilitation pour en faire un site culturel et touristique dont cette partie de l’Oriental a le plus grand besoin.

2.5. Circulation et transport

Dans ce domaine, la ville de Taourirt, qui remplit une fonction de carrefour de circulation et de transport, distribuant les flux vers tous les points cardinaux de la Région de l’Oriental, devra bénéficier d’un plan de circulation bien adapté et performant, répondant aux exigences d’un transport routier destiné à connaître un accroissement de plus en plus important et un transport ferroviaire appelé à s’intensifier, avec le réaménagement de la ligne Fès-Oujda, d’un côté, et la construction projetée de la ligne Taourirt-Bni Ançar, de l’autre. A cet égard, les interventions ci-après doivent être programmées :

une voie de contournement pour éviter aux transports lourds d’emprunter l’axe principal de la ville constitué par la route nationale, et qui représente «son boulevard» ;
l’aménagement de zones de stationnement et de parkings appropriées ;
la construction d’une gare ferroviaire importante de triage et une autre de voyageurs.

La ville de Taourirt, du fait de sa position géographique, devra connaître un trafic routier en accroissement rapide, nécessitant la mise en œuvre d’un large programme d’aménagement de la voirie (principales artères de la ville), avec une gare routière bien dimensionnée et fonctionnellement localisée.

Le plan de circulation devrait, bien entendu, intégrer sans sa conception le projet de construction de l’autoroute Fès-Oujda ou Autoroute du Levant. A cet effet, les servitudes induites par ce grand projet doivent être prises en compte dès aujourd’hui, avec la construction des ouvrages d’art nécessaires (ponts, viaducs, tunnels) à la fois pour la circulation routière et le transport ferroviaire.

Par ailleurs, d’autres projets identifiés concernent :

le renforcement de la RP 603 reliant Matlili à Machraa Hammadi ;
la construction de la route entre Taourirt et Mastigmer, sur une longueur de 20km,
la construction d’une route reliant Taourirt à Tanecharfi, sur une longueur de 28km,
la construction d’un ouvrage d’art sur la RN19, reliant Taourirt à Malg Al Ouidane, sur Oued Amar.

Notons également la nécessité de prévoir des ouvertures sur Garcif, Nador, Aïn Zohra et M’soun, afin d’améliorer les communications de Taourirt dans ces directions.

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